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lundi 7 mai 2012

Quand le Nom du Gabon Sert de "Survie" Financière à Certaines Nébuleuses Françaises:Décryptage

Au moment où la France choisit d'écrire une nouvelle page de son histoire politique par l'élection de François Hollande comme Président de la République, au moment où le Président de la République Gabonaise Ali BONGO ONDIMBA poursuit la vague des réformes et de chantiers attendus par les populations gabonaises, d'autres choisissent de surfer sur le registre de la peur, de la diffamation et de l'obstruction permanente.
 
Force est de constater en effet,  que notre pays le Gabon compte en son sein, quelques veaux, dont le destin, entraîné tout droit à l’abatage par des bergers du ridicule, est emprisonné par un prisme inversé. La motivation politique et l’envie de diriger une nation ne peut conduire à rien de bon s’il n’est que haine, calomnie et vengeance.
 
Comment concevoir que ceux-là même qui s’autoproclament défenseurs devant l’éternel de la Démocratie, soient les mêmes qui n’en n’acceptent les règles et font de leurs écrits moribonds, de leurs torchons politiques et autres gesticulations stériles, des exemples même de ce qu’ils reprochent au Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA ?
 
En effet, la posture de la victime est tellement une habitude chez ces compatriotes de mauvais aloi, qu’ils en arrivent à inventer les maux tout en en ressentant la douleur. Des malades imaginaires, que disons-nous, des politiciens imaginairesdes personnes qui n’ont aucun respect ni estime pour la gestion de la chose publique, des gueux revêtus, dont la méconnaissance totale de toute forme de responsabilité les plongent depuis le 16 Août 2009 dans la dérive injurieuse contre le Président de la République, pensant ne jamais être lu.
 
C’est donc tapis dans l’ombre que ces pigistes du dimanche se sont découverts des vocations politiques, dans l’espoir de passer du statut d’inconnus, de rejetés et même de marginaux pour ne pas dire schizophrène,  à celui de Martyr (Ne riez pas, c’est sérieux).
 
Mais martyr de qui ? Martyr pour tous ces gens qui, ayant trop longtemps vécu dans l’opulence, craché sur le Peuple Gabonais et rêvé d’un pouvoir éternel, sont aujourd’hui obligés de mendier une virginité politique à ce même peuple. Ce peuple qui ne se reconnait pas dans leurs propos orduriers, ce peuple qui, dès que l’occasion lui est donnée échange, parle, congratule et pleure avec son Président Ali BONGO ONDIMBA.
 
Oui messieurs, n’en déplaisent à vos écrits, la répression, la dictature et les faits que vous dénoncez n’ont existé que dans vos fantasmes de voir un soulèvement, porter vos maitres-à-penser au pouvoir! Vos rêves d’un Gabon qui stagne, qui perd et qui encore plus qu’autre fois se meurt un peu plus après chacun de vos battements de cœur, ne sont plus que des vues de l’esprit. La perte de vos soi-disant acquis vous ayant rendu encore plus cynique qu’avant.

Mais ouvrez donc les yeux! Dans le Gabon d'aujourd’hui, artisan de demain,  nous avons des objectifs clairs de développement, une méthode pour y arriver et des actions concrètes pour en poser les jalons. Les occasions qui s’enchainent devraient pourtant vous permettre de vous rendre à l’évidence que le Gabon a véritablement changé de cap, mais que nenni!
 
Sans remonter jusqu’à la Coupe d’Afrique des Nations 2012 que tout le monde a encore en mémoire  que vous regardiez tout ébahis cachés derrières vos écrans il y’a quelques mois, et dont un rapport exhaustif nous démontre encore une fois la transparence qui prévaut aujourd’hui au Gabon et portée par une reconnaissance à l’échelle internationale.
 
Voici une nouvelle leçon de la grandeur de ce nouveau Gabon aspirant à  l’Emergence qui vient de vous être donnée par la tropicale Amissa Bongo. Organisation sans failles, étapes sur des tronçons de routes, rappelons-le, empruntés quotidiennement par tous les gabonais et d’une qualité qui font de cette compétition une référence aujourd’hui en matière de cyclisme africain et international.
 
 
Retour au calme dans l’Université Gabonaise grâce, non pas à des solutions de rafistolage politique mais par une prise à bras le corps des problèmes de fond qui s'est traduit par le récent Conseil Présidentiel sur l’Éducation présidé par le Chef de l’État Himself, impulsion d’une dynamique de compétitivité, de compétence et de cohérence au sein de l’Administration Publique.
 
Mais non, vous semblez non préoccupés par cela, ce qui vous intéresse en revanche, ce sont les mallettes. Voilà ce qui fait battre vos cœurs, voilà où se trouve votre vrai raison de vivre ! Dictatures, tortures, répressions…, ces mots sont ceux que connaissent vos comptes bancaires ! Mais surtout pas le peuple gabonais ! Vos débats qui restent toujours au ras des pâquerettes sont la raison même de votre inertie. Le kongossa politique, les rumeurs, les affaires, les dossiers, voilà ce à quoi se résument vos passions.
 
Mais, chers messieurs, sachez qu’ici au Gabon,  loin de vos engagements dans des grandes organisations internationales voulant leur part du gâteau africain, symbole du néocolonialisme dans lequel vous n’êtes que des pions, loin de vos démocraties dans lesquels seuls vous avez raison et où la contradiction se résume en injures et diffamation, il y’a un Gabon qui bouge et qui avance à pas de géant. Ce navire dont le capitaine est le Président Ali BONGO ONDIMBA,  ne se laissera ni attaquer, ni détourner.  Alors allez dire à vos seigneurs et à vos ONG de nous laisser avancer.

                                                                      Qui se Cache Derrière l'Association Française "Survie"?
Au juste, l’Association « Survie », parlons-en ! Cette organisation obscure est à l’image de son fondateur aujourd’hui décédé, François Xavier Verschave, dont les pratiques de son vivant et fidèlement reprises par ses successeurs, furent de nature à donner froid dans le dos.
 
Figurez-vous que ce fameux François-Xavier Verschave écrivait ses livres à partir de la presse. Il est assez peu allé en Afrique, ce qui, d'après un journaliste du Monde, ne l'intéressait pas. Le journal Le Monde du 2-3 juillet 2005, notera par exemple qu'il « découpait les articles glanés à droite et à gauche, écoutait ceux qui rendaient visite à l’association et, sans trop s’embarrasser de vérification, faisait de cette matière première la pâte de ses ouvrages ».
 
François-Xavier Verschave travailla comme coopérant français en Algérie à la « Direction des transports terrestres ». Il travailla avec « un duo peu banal » : Djelloul Benlhadj, énarque algérien du FLN, et un pied noir, Jacques Lengrand, qui avait combattu le FLN et fut dépossédé de son héritage constitué d'une des principales entreprises de transport algériens (Les Autocars Blidéens). Ces deux personnalités « ennemies » avaient décidé d'unir leurs efforts pour « reconstruire » les transports algériens. (Imaginez donc l'étrangeté du personnage, Paix à son âme).
 
A la lumière de ce qui précède, on peut en conclure qu’en s’acharnant régulièrement contre le Gabon et son Président de la République, la nébuleuse gauchiste appelée  Survie  qui s'octroie aujourd'hui la liberté d'insulter le Gabon, est définitivement entrée dans la catégorie des ONG dont Hubert Védrine, ministre des Affaires étrangères du gouvernement Jospin (1997-2002), résume ainsi le discours : combiné avec celui des médias, il vise « à décrédibiliser les gouvernements, à suspecter les États et à idéaliser la société civile dont les ONG seraient l’expression ( plus que le corps électoral! )…
 
Dans un monde de plus en plus privé de repères, où les idéologies ne sont plus guère à la mode,  Survie a réussi à assurer la fortune d’un concept simplificateur dont la principale "vertu" est d’être immédiatement intelligible, de produire des analyses « radicales » qui semblent aller de soi. Une vision négative de l’Afrique comme principal outil de sa « Survie » financière.
 
Cependant, les Gabonais tiennent à lui dire qu'ils ne sont ni des handicapés mentaux, ni des incapables majeurs, ni des moutons de panurge, encore moins des vassaux au préjudice desquels "Survie" exercerait une assistance sociale ou morale ! Qu'elle commence par prouver la probité morale de ses membres et à nettoyer le paillasson de sa porte!
 
Auteur:La Jeune Garde Du Gabon Émergent !


mardi 24 avril 2012

Je ne Laisserai Jamais un Faux Monnayeur de la Pensée Insulter le Pr Guy Rossatanga

La haine, la jalousie et l'outrance ne font pas la science !

Sans penchant ni cliché,  la diatribe de caniveaux publié par ce philosophe de quartier nommé Marc Mvé Bekalé n’est ni une publication, ni un article, mais tout simplement un tract , car un pareil langage nous est familier ! Un langage qui tente de prouver sans preuves, un langage qui critique sans propositions, un langage qui condamne, un langage qui refuse le visage de l’autre ; bref, un langage nihiliste.

Hélas, un observateur averti pourra facilement conclure que l'auteur de ce tract est totalement déconnecté de la réalité, malade, déphasé ou le fait-il sciemment , tout est mêlé , mais le danger dans tout cela c’est l’impact de cette inconduite sur le lecteur Gabonais qui lit ces hérésies !

Connaissez-vous Naipaul, Elikia Mbokolo, Mamadou Diouf, André Julien Mbem et Marc Mvé Békalé ?

Sir Vidiadhar Surajprasad Naipaul, plus connu sous la signature V. S. Naipaul, est un écrivain britannique originaire de Tininad et Tobago. Auteur d'une trentaine d'ouvrage, il a reçu le prix Nobel de littérature en 2001.

Elikia M'Bokolo est un écrivain et historien congolais (RDC). Historien spécialisé sur l'Afrique reconnu, il est directeur d'études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales et a enseigné dans d'autres institutions françaises: l'Institut des Sciences et Techniques Humaines (ISTH), l'Institut libre d'étude des relations internationales (ILERI) et l'Institut d'Études Politiques (IEP). Il est bien connu des auditeurs de RFI pour son émission « Mémoire d'un continent ».

Mamadou Diouf est un historien sénégalais qui vit aujourd'hui aux États-Unis. Il a d'abord été enseignant-chercheur à l'Université Cheikh Anta Diop, où il dirigeait le département de recherche et de documentation du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) de 1991 à 1999, date à laquelle il s'installe aux États-Unis. Il enseigne alors à l'Université du Michigan. Le 1er juillet 2007 il a pris la tête de l'Institut d'études africaines à l'École des affaires internationales et publiques (School of International and Public Affairs) de l'Université Columbia à New York.

André Julien Mbem est Camerounais. Écrivain, Chercheur, il est directeur de la collection chez L'harmattan à Paris.

Marc Mvé Békalé est un (obscur) universitaire gabonais enseignant la philosophie dans un établissement d'enseignement français ( IUT).

Quel point commun entre tous ces gens ?

En fait rien ne permettrait d'aligner ensemble toutes ces personnes. Sauf un nom. Celui d'un universitaire gabonais connu et reconnu au Gabon et en dehors : Professeur Guy Rossatanga-Rignault.
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L'auteur de cette rencontre imprévue : le nommé Mvé Békalé qui a pondu sur Médiapart ce qui aurait dû être une critique du dernier livre de Guy Rossatanga-Rignault ( Qui t'a fait roi ? Légitimité, élections et démocratie en Afrique ) et qui, sous un habillage pseudo-scientifique n'est rien d'autre qu'un ramassis de a propos suintant la haine, la jalousie et l'attaque personnelle.

Mais que viennent donc faire Naipaul, Mbokolo et Diouf dans cette galère ? Ils ont tous un tort : penser du bien de la production scientifique et de l'universitaire Guy Rossatanga-Rignault.

Naipaul ? Il osé consacrer une douzaine de pages à Guy Rossatanga-Rignault dans son dernier livre ( Le masque de l'Afrique. Aperçus de la croyance africaine, traduction française, Paris, Grasset 2011). Evidemment, un prix Nobel aurait mieux fait de parler de Marc Mvé Békalé que de Rossatanga-Rignault.

Mbokolo ? Il a commis l'imprudence et l'impudence d'inviter à plusieurs reprises Rossatanga-Rignault dans sa célèbre émission sans jamais songer un seul jour à y convier le grand philosophe Mvé Békalé. Pire, il s'est autorisé, avec Naipaul, à qualifier Rossatanga-Rignault « d'intellectuel gabonais de référence ».

Mamadou Diouf ? Il doit finir au bûcher pour avoir osé faire une préface « d'une complaisance préjudiciable » au livre de Rossatanga-Rignault.

A part l'accabler de tous les noms d'oiseaux, que reproche Mvé Békalé à Rossatanga-Rignault ? Rien de bien pertinent : « trop de citations qui alourdissent le texte », « point d'analyse sur les vertus du contrôle citoyen de l'homme politique, le rôle décisif du pouvoir judiciaire et celui des médias. Rien de tout cela.

Le lecteur a plutôt droit à une glose censée relativiser la signification du vote, la définition de l'élection, l'identité nationale, etc ». Mvé Békalé qui est censé enseigner la philosophie fait montre ainsi d'un sens extraordinaire du hors-sujet.

A quel moment Rossatanga-Rignault prétend-il écrire un livre sur les vertus du contrôle citoyen de l'homme politique ou sur les vertus du pouvoir judiciaire ?

Il s'agit de thématiques intéressantes, mais que viennent-elles faire dans un ouvrage consacré à la démocratie électorale et donc aux élections en Afrique ?

On comprend pourquoi ce genre d'enseignants passe le plus clair de leur temps à « donner des zéro » aux étudiants : ils corrigent la copie en ayant en tête un autre sujet que celui traité par l'étudiant.

On en déduit très vite que l'étudiant est nul alors que c'est l'enseignant qui est proprement idiot. C'est bien ce que montre cette « critique » du livre Qui t'a fait roi de Rossatanga-Rignault.

En réalité, il n'y a aucun intérêt scientifique (heuristique, dans le français pompeux des individus de la race de Mvé Békalé qui noient leur vide dans une gromologie pseudo-savante et qui n'impressionne que plus idiots qu'eux).

Non, le seul but de cette réponse est de débusquer l'imposture cachée sous le blanc manteau de la science. Car imposture, il y a bel bien. En effet, le vrai reproche qui sous-tend cette charge au vitriol contre un homme respectable et respecté est double :
 
- Rossatanga-Rignault n'appartient pas au camp du BIEN (celui de la horde ethno-fasciste de ceux qui se nomment « opposition » et « société civile » gabonaise) ;

-
Rossatanga-Rignault a le malheur suprême de ne pas appartenir au peuple auto-élu du Gabon qui dispose seule de l'intelligence, qui a seul le droit de gouverner le Gabon.

Oui, les choses doivent être dites. Les masques doivent tomber ! Marc Mvé Békalé et d'autres hurluberlus de la même espèce ne sont que des faux monnayeurs de la science qui ont mis le peu de savoir qu'ils ont au service de la propagation d'une idéologie mortifère qui a provoqué le sang, le feu et les larmes ailleurs.

Mvé Bakélé et ceux de sa bande (les Grégoire Biyogo et autres Ondo Ossa) ont pris en otage une ethnie qui ne leur a rien demandé, qui ne leur a confié aucun mandat de parler en leur nom.

Ces gens se sont faits les haut-parleurs d'un son indigeste proclamant la supériorité d'une ethnie sur toutes les autres au Gabon. Cela s'appelle du fascisme.

Qui est Mvé Békalé ? Un auteur d'ouvrages peu connus, peu cités et peu référencés sur le marché intellectuel. L'homme noircit de temps à autres du papier chez L'harmattan pour, par exemple, informer le monde de la profondeur de la pensée d'un certain Pierre Claver Zeng (chanteur gabonais de talent, ayant péniblement terminé ses études à la faculté de droit de l'UOB avant de devenir inspecteur du Trésor puis ministre de longue durée d'un certain Omar Bongo honni par Mvé Békalé….).

La dernière publication de ce despérado des lettres a pour titre Lettre à la jeunesse gabonaise.

Pour une intensification de la résistance morale et intellectuelle à la saga despotique des Bongo, et est ainsi résumé : « Arrivé au pouvoir grâce à une parodie électorale, Ali Ben Bongo a mis en place une stratégie politique qui consiste à étouffer les voies discordantes, à se servir des forces armées, à verrouiller l'appareil d’État, à refuser au peuple gabonais le libre choix de ses dirigeants politiques.

Résister à ce régime n'est pas l'affaire d'un jour. Un nouvel ordre devra être arraché par la lutte. L'émergence véritable du Gabon apparaît consubstantielle à la violence ».

Comme on peut le voir, Rossatanga-Rignault et Mvé Békalé ne jouent pas dans la même catégorie, ne participent pas au même championnat et ne visent pas les mêmes objectifs. L'un s'efforce d'établir une œuvre scientifique (discutable par définition), l'autre émet des fatwas intégristes indiscutables.

Redisons-le. Le vrai « problème » de Mvé Békalé n'est jamais rien d'autre : hurler la noblesse et la supériorité supposées de son groupe ethnique. La preuve ?

Alors qu'il est censé critiquer un livre de Rossatanga-Rignault, l'homme ne peut se retenir de venir, en total hors sujet, chanter la gloire des siens et, surtout à les mettre en miroir de ce qu'il appelle, en anthropologue de bazar, le « groupe ethnique Mpongwè » (connu de lui seul, les Mpongwè n'étant pas un groupe ethnique mais une composante du groupe ethnique NgwéMyènè ou Myènè).

Certains pourraient me trouver excessif ou méchant, qu'ils lisent la prose infecte de Mvé Békalé : « De même, il faut remonter le cours de l'histoire du peuple fang pour saisir sa philosophie politique et son rapport au pouvoir... Pareil trait culturel, devenu un archétype, développe au sein du groupe et chez l'individu un sens aigu du libre choix et du libre arbitre… 

Il reste que la volonté et le désir de mobilité chez les Fang procédaient essentiellement d'un tempérament rétif à tout ce qui avait trait à la soumission. Tel est le principal enseignement que nous livre le Mvet, l'épopée historico-mythique qui incarne le mieux l'Esprit de ce peuple.

Les premiers ethnologues et explorateurs européens y ont perçu l'expression symbolique, sinon fantasmée, d'une volonté de puissance conquérante. Pourtant, en arrière-plan de la lutte pour la conquête ou la préservation de « l'Immortalité », thème central du Mvet, s'articule la question de l'affirmation de la liberté humaine.

Ce thème est récurrent dans la poésie de Pierre-Claver Zeng. Incarnation de l'esprit libéral de l'Être fang, le ton même du Mvet, guerrier, dit le refus d'embrigadement.

A partir de ces brèves considérations mythico-culturelles, il apparaît que le Fang et le Mpongwè n'avaient pas, à l'origine, la même conception du pouvoir et de l'autorité. Rétifs à toute forme d'assujettissement –— attitude qui les avait poussé à prendre la fuite devant des groupes ethniques militairement mieux organisés tels les guerriers peuls (à en croire l'historien Joseph Ki-Zerbo) et aussi à opprimer des peuples plus faibles —, le Fang rejette l'idée de l'homme comme « sujet de… ».

Ainsi entre l'esprit royaliste mpongwè et l'esprit libéral fang, il n'y a que la démocratie électorale, établie sur la logique du contrat moral, juridique et institutionnel préalablement négocié, pour créer les nouvelles conditions de légitimation de l'exercice du pouvoir et pour favoriser la coexistence pacifique au sein d'un même Etat. En l'absence d'un tel Etat, ce sera le triomphe du darwinisme. La légitimation de la force brute ainsi qu'on l'a vu avec l'avènement d'Ali Ben Bongo au pouvoir. En son temps, le peuple d'Akoma Mba aurait pris les armes »., fin de citation. Pitoyable ! Et ridicule !

Si on était aussi idiot que Mvé Békalé, on lui poserait une seule question : dans le voisinage immédiat du Gabon existent deux pays dirigés depuis des décennies par deux éminents représentants de l'esprit libéral de l'Être fang, en quoi l'un et l'autre de ces États contrôlés par les descendants du noble peuple d'Engong sont-ils des modèles de démocratie, de libéralisme ou de développement économique et social ?

A part les aveugles, tout le monde sait que le moins libéral pour ne pas dire le plus arriéré politiquement des États d'Afrique centrale est bien celui-là dans lequel règne dans la violence brute un membre de ce groupe libéral.

Alors ? Alors, calmons-nous ! Discutons, sans mépris, sans insultes. Débattons. Nos sociétés en ont besoin. Nulle n'a la vérité révélée. Il n'existe pas des bons et des mauvais peuples. Il y a des hommes avec leurs qualités et leurs défauts. Il y a des « gens biens » partout et des « gens comme Mvé Békalé » partout.

Critiquons ce qui doit l'être. Proposons. Osons l'échange citoyen, humaniste. L’Afrique n'a pas besoin de marchands de division, des prophètes du malheur et de l'enfer qui est toujours l'Autre.

Pour finir, vu que Mvé Békalé, au bout de temps d'années d'enseignement, ne sait toujours pas ce qu'est une recension ou une critique scientifique d'un ouvrage. Nous l'invitons à lire la recension ci-dessous. Elle a pour auteur André Julien Mbem que Mvé Békalé doit bien connaître puisqu'il est directeur éditorial chez son éditeur, L'harmattan.

La prochaine fois, il gagnerait à y aller franco : c'est son droit d'écrire des pamphlets politiques en tant qu' « opposant » contre quelqu'un qui n'a que le tort d'être collaborateur du Président de la République gabonaise (position qu'il occupe du reste depuis près d'une dizaine d'années).

Et comme Marc Mvé Békalé n'aime pas Talleyrand, laissons à ce dernier la conclusion : « Tout ce qui est excessif est insignifiant ».

Cher compatriote Marc, bonne lecture et sans rancune.

Auteur: La Jeune Garde

jeudi 15 mars 2012

ALI BONGO ONDIMBA EN MODE SANS LANGUE DE BOIS SUR LA CHAINE FRANCE 24

Le président de la République Ali BONGO ONDIMBA s’est livré à une interview avec le journaliste Alain Foka de Radio France internationale (RFI). L’entrevue a été diffusée le Mercredi 14 mars 2012 sur les antennes de la chaine internationale France24, télévision pour laquelle elle a été réalisée.
Plusieurs sujets d'actualités ont jalonné cet échange découvrez son intégralité en exclusivité:
Alain Foca: Dernière actualité au Gabon avec la nomination d’un nouveau gouvernement avec un nouveau Premier ministre. Un gouvernement plutôt réduit mais où ne rentre pas l’opposition, c’est la fin de la réconciliation, c’est la fin du dialogue ?
Ali BONGO ONDIMBA: D’abord concernant le gouvernement, il est important de noter effectivement que tel que nous étions engagés, nous avons procédé à une réduction des membres du gouvernement. En fait, depuis 2008 on peut dire que nous sommes passés de plus 40 ministres à moins de 30 ministres. C’est quelque chose qui était attendu et c’est ce que nous avons fait. À chaque période correspond un type de gouvernement. Pour nous, il était important qu’après les législatives nous puissions mettre en place une équipe plus restreinte mais que je veux beaucoup plus performante et qui puisse permettre d’accélérer tous les programmes que nous avons en cours.

Alain Foca: Est-ce la fin du consensus, ou de la réconciliation ? Parce que là, il n’y a aucun membre de l’opposition

Ali BONGO ONDIMBA: Juste après les élections présidentielles, j’ai tendu la main comme vous le savez bien. Moi, j’ai fait ce geste-là. J’ai invité tout homme, toute femme politique à venir nous retrouver pour mettre en place le programme pour lequel je m’étais présenté pour solliciter les suffrages de mes compatriotes. Lorsque nous avons organisé les dernières législatives, à notre grande surprise nous avons vu qu’un certain nombre de mouvements, parmi lesquels l’opposition, réclamaient le boycott. Dieu merci il n’y en a pas eu.

Alain Foca: Cependant il y a eu 65 % d’abstention

Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka, vous êtes un observateur de la question politique en Afrique, vous pouvez aisément vérifier que depuis plus de 20 ans au Gabon comme partout ailleurs, nous avons des taux de participations qui sont faibles et nous le déplorons, mais c’est ainsi. La dernière élection législative que nous avons eue à organiser dans notre pays ne déroge pas à la règle. Les taux sont les mêmes et parfois par rapport aux élections antérieures ces taux sont supérieurs au niveau de la participation, donc il n’y a rien d’extraordinaire.

Alain Foca: Pour vous 34 % de participation c’est normal à une élection législative ?

Ali BONGO ONDIMBA: Je ne dirai pas que c’est normal. Moi, je souhaiterais plus de participation, mais c’est un phénomène que nous observons sur toute l’Afrique et ailleurs. Beaucoup de personnes vont moins aux urnes. Dans la cadre purement gabonais, nous avons noté que ce chiffre est en légère hausse par rapport aux dernières élections.

Alain Foca: On a vu partir pas mal de barons du régime de l’époque de votre père. Le fils en a assez de travailler avec les anciens, avec les proches de son père ? Vous voulez effacer la période Omar Bongo Ondimba ?
Ali BONGO ONDIMBA: Il est impossible pour nous d’effacer cette période. Comme je vous l’ai indiqué, le gouvernement actuel répond à un souci qui est, normalement et pour moi, principal pour l’attente des Gabonais, celle de voir ce gouvernement accélérer les réformes.  

Alain Foca: Ceux-là n’étaient pas capables d’accélérer les réformes ?
Ali BONGO ONDIMBA: Non, je ne dis pas qu’ils n’en étaient pas capables. Mais je dirai qu’aujourd’hui pour certains, après un temps passé aux affaires, ils pourront se consacrer à autre chose. Ce n’est pas surprenant que certains quittent le gouvernement. D’autres de la période que vous citez sont encore là. En plus de cela, j’avais autour de moi des collaborateurs qui sont aujourd’hui, à la présidence, ma garde rapprochée. Je ne me suis pas totalement coupé des barons de la période de mon père comme vous le dites. Au titre de ses collaborateurs, je suis le premier, je suis bien là.

Alain Foca: Aujourd’hui, votre principal opposant, André Mba Obame, se trouve en exil, loin du Gabon. Est-ce que, maintenant que vous êtes légitimé, que vous avez un gouvernement, que vous vous êtes fait élire, que la paix est revenue, que vous dites que vous êtes démocrate, il peut regagner le Gabon ?
Ali BONGO ONDIMBA: Nous sommes en paix au Gabon. C’est vous qui parlez d’exil. Vous a-t-il dit qu’il était en exil ? À ma connaissance, il n’est pas en exil.

Alain Foca: Vu les conditions dans lesquelles il est parti…

Ali BONGO ONDIMBA: Les conditions réelles pour lesquelles il a quitté le territoire relèvent de problèmes médicaux.
 
Alain Foca: Tout le monde sait bien que ce n’était pas seulement pour des raisons médicales qu’il est parti. Il y a aussi des raisons politiques.

Ali BONGO ONDIMBA: Pourquoi ? Était-il pourchassé, inquiété ?

Alain Foca: Il a dit qu’il était inquiété.

Ali BONGO ONDIMBA: C’est lui qui l’a dit. En attendant, si vous allez consulter ses militants, on vous dira qu’il poursuit sa rééducation et lorsqu’il aura retrouvé l’aptitude de tous ces moyens physiques, je ne doute pas qu’il revienne au Gabon. Et pour le connaitre un peu, je sais que c’est quelqu’un qui aime l’action.

Alain Foca: Donc vous l’attendez ?

Ali BONGO ONDIMBA: Moi principalement non, mais je sais que ses militants l’attendent lui.

Alain Foca: Il y a quelques semaines la police, en France, débarquait dans le logement d’un fils de président voisin, celui de la Guinée équatoriale, pour effectuer une formidable perquisition. On parle d’une caverne d’Ali Baba avec tout ce que l’on a retrouvé sur place, et l’avocat de Transparency international, dans l’affaire des biens mal acquis, a dit dans quelque temps peut-être vous aussi, vous serrez inquiété, parce qu’il y aura aussi une perquisition chez vous. Est-ce que vous viendriez si la justice française vous convoque ? N’avez-vous pas peur d’une perquisition chez vous ?

Ali BONGO ONDIMBA: Voici des propos surprenants, car visiblement cette personne en sait plus sur moi que moi-même. Je n’ai aucune inquiétude dans la mesure où pour venir chez moi et perquisitionner, il faut que j’ai un chez moi. Je n’ai pas de biens en France.
Alain Foca: Et tous ces appartements, tous ces hôtels particuliers, dont on parle, dont on diffuse des images à longueur de journée ? Vous ne pouvez quand même pas dire que vous n’en avez pas du tout ?
 
Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka, je vous connais de réputation. Certainement avant de débarquer dans votre avion pour Libreville, vous aviez fait vous-même des investigations et je m’attendais plutôt à ce que vous me posiez des questions plus précises, du genre «et votre bien qui se trouve à tel endroit ? Et votre immeuble qui se trouve à tel endroit et votre maison qui se trouve à tel endroit ?» Or, ce n’est pas ce que vous faites. Ça veut simplement dire que vous avez vérifié et vous vous êtes rendu compte que je n’ai pas de biens en France.

Alain Foca: Récemment on publiait dans un magazine parisien, les dépenses de votre épouse Sylvia Bongo Ondimba, qui avait dépensé un million d’euros dans un magasin de luxe à Paris.

Ali BONGO ONDIMBA: Vous voyez monsieur Foka que la méthode est toujours la même : on n’annonce que l’on va bientôt débarquer chez Ali Bongo, alors qu’on sait très bien qu’Ali Bongo n’a pas de biens en France. Mais bon, c’est le scoop. Ça fait bien pour vendre un peu de papier et susciter un peu l’attention, et après on parle des achats de madame Bongo, et on s’étonne qu’elle ait des cartes de crédit. Vous n’avez pas de carte de crédit, vous ?

Alain Foca: Je ne peux pas dépenser un million d’euros.
 
Mais qui vous dit qu’elle a dépensé un million d’euros ?
  Alain Foca:  Les chiffres sont là.

Ali BONGO ONDIMBA: Lesquels et c’est de qui ? Je voudrais faire plusieurs observations à ce niveau là. D’abord, ce n’est pas un crime que d’avoir des cartes de crédit ; ce n’est pas un crime de dépenser de l’argent qu’on a proprement gagné et qui est le sien. A ce sujet je voudrais vous dire que ni madame Bongo, ni moi-même ne découvrons l’argent aujourd’hui. Nous avons travaillé. Mon épouse a travaillé plus de vingt ans et si un certain nombre de personnes faisaient un peu l’effort de venir au Gabon, ils se rendront compte que tous les Gabonais savent que nous avons travaillé. Nous n’avons pas, un jour, débarqué de la lune et découvert l’argent comme on veut bien le dire, et ce n’est pas vrai. Tout ceci n’est en fait qu’une campagne que je ne qualifierai pas, pour détourner l’attention des gens. Ali Bongo est un personnage public, il est aujourd’hui chef de l’État. Qu’on vienne le juger de par son action, et non aller chercher des petits superflus ici et là qui n’ont aucun intérêt à Libreville.

En plus j’aimerais faire remarquer, deuxièmement, nous avons été surpris de découvrir aujourd’hui qu’il existe un nouveau délit. On parle de délit de patronyme. Apparemment je ne porte pas le bon nom, si peut-être je m’appelais Ali Foka, je n’aurai pas les mêmes problèmes que j’ai aujourd’hui.

Alain Foca: Mais vous n’auriez pas les mêmes avantages…
 
Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka encore pour une fois, nous avons travaillé pour être là. Ce n’est pas arrivé par le fruit du hasard. Nous avons travaillé.

Alain Foca: Pour vous, vous êtes victime du délire de patronyme ?

Ali BONGO ONDIMBA: Je suis victime du délire de patronyme.

Alain Foca: Vous n’avez pas peur de cette justice qui avance, puisque cette plainte, aujourd’hui, est recevable en France ?

Ali BONGO ONDIMBA: Pourquoi devrais-je être inquiet ? Je le rappelle encore une fois, j’ai travaillé toute ma vie. Donc, je n’ai pas de crainte par rapport à une quelconque enquête que l’on puisse décider aujourd’hui. Je n’ai pas de biens en France, donc qu’est-ce que c’est ?

Alain Foca: En une minute, monsieur le président, puisque le temps tourne très très vite. Nous avons vu venir ici successivement ces derniers temps, Jean Pierre Raffarin, Laurent Fabius. C’était pour la campagne ? Ils venaient chercher les fameuses valises de Bourgi ? Vous aussi vous en donnez ?
Ali BONGO ONDIMBA: Vous voyez comment vous êtes !

Alain Foca: Vous savez que c’était la tradition à l’ancienne époque et monsieur Bourgi l’a fait connaitre au grand public. Est-ce que cela continue sous monsieur Ali ?

Ali BONGO ONDIMBA: Est-ce que, lorsque vous êtes venu me rencontrer, je vous ai donné quelque chose ? Est-ce qu’il est prévu que je vous donne quelque chose quand vous partirez ?
 
Alain Foca: Je ne suis pas un homme politique.

Ali BONGO ONDIMBA: Vous me parlez de tradition. Depuis que moi je suis président de la République, personne n’a vu une seule valise quitter le palais. Monsieur Raffarin et monsieur Fabius sont venus dans un cadre bien précis : un partenariat, un échange avec HEC Paris et dans un programme de partenariat avec notre école d’administration. Ce sont deux personnalités, deux anciens ministres, je les ai reçus. On a échangé nos vues sur la coopération et le partenariat qui existe entre nos deux pays. Il n’y a rien d’autre. Malheureusement, je sais que ce genre d’information ne fait pas scoop, ne fait pas vendre. Il est préférable de dire qu’ils sont venus et qu’il y avait pré-campagne. Ça ne ce passe pas comme ça et ça ne se passera plus comme ça. N’en déplaise à certains, qui, je sais, sont nostalgiques de certaines époques.
Alain Foca: Merci monsieur le président

Ali BONGO ONDIMBA: Merci

dimanche 4 mars 2012

LA RENGAINE DE L'AFFAIRE DITE DE BIENS MAL ACQUIS : ENTRE AMALGAMES ET CONDESCENDANCE

Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !

Comment en serait-il autrement dans  un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis leur fonds  de commerce épisodique, de politiciens couverts du manteau de la société civile et pas assez courageux pour assumer leurs options et de la clique du plus grand malade imaginaire et ridicule de tous les temps (suivez mon regard !).
 
Ces attaques par presse bien pensante interposée et manipulée nous rassurent. 

En effet chaque fois qu’elles interviennent, elles  coïncident avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA.

Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale, le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé tenace de rédactions qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés. 

Et les voilà avec leurs relais et tocards identifiés et connus de tous qui franchissent le Rubicon en essayant de salir et le Président Ali contre qui ils n’ont rien trouvé  malgré moult investigations mais pis contre la Première Dame qui n’a pas attendu la consécration de son époux à la tête de l’Etat pour se bâtir une fortune. Dussé-je blesser sa modestie, Madame vient d’une grande famille parmi les plus grandes fortunes du continent et c’est utile de le dire et de le rappeler pour que nul n’en ignore.
 
Mieux, en femme d’affaires entreprenante, elle a créée, à la sueur de son front, des structures et des emplois au Gabon il y a des années. Vos informateurs et acolytes tapis dans l’ombre le savent.
 
 La malhonnêteté consiste par un glissement vicieux à faire croire qu’une carte de crédit de prestige personnelle soit alimentée par des fonds publics.

Ceci est tout simplement détestable et inélégant vis avis d’une Grande Dame, proche de ses concitoyens, discrète et efficace, une Dame de cœur et de classe comme on aimerait bien en voir dans les palais du monde entier. La dernière CAN 2012 sans SIDA en est une illustration internationale.

Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?

Le Sieur  Bourdon, avocat à ses heures perdues,  est en plein dans son opération de communication. Il se substitue aux pétitionnaires nationaux, s’acoquine du président du ridicule, qui chaque jour qui passe voit son rêve de Président ou son désir revu à la baisse en premier PM du Wolen Ntem (hélas !) s’évaporer face aux réalisations visibles dans tous les domaines par chacun de nos compatriotes.
 
 Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon.

Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA,  qui lie l’acte à la parole, le Gabon  suscite l’intérêt de pays développés et  émergents, d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire, de langue en partage notamment la France que  des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.

Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
 
 Il a su avec lucidité et courage faires sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures , d’une nouvelle politique énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale  des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National  Souverain parmi une multitude d’initiatives fortes et structurantes.
 
C’’est au moment où un leader africain de la nouvelle génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels encore assommés ou convalescents et autres oiseaux sinistres par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son plan stratégique et des signaux forts de bonne gouvernance, que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs, qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique, aux accès coupés vers les palais ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom  tropicaux, apprentis  en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tous genres.
 
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers et conspirateurs et leurs moult agitations ne continueront qu’à les confiner à la périphérie! A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs, d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des dernier coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).

L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon l’expression de Pierre Péan.
 
 Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France.  
 
Au Gabon, malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche, le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.

En France : l’opinion publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
 
 Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.

Les scandales,  lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment. Toute liste devra être inclusive,  y compris les abonnés au  pouvoir d’un hier récent.

Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.

Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
 
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales.

samedi 3 mars 2012

POURQUOI LA FRANCE EN VEUT-ELLE AUX SUCCÈS D'ALI BONGO ONDIMBA?:LA JEUNE GARDE DONNE LA RÉPONSE

Loin des tumultes d’une campagne présidentielle vide, rythmée de petites phrases, d’affaires obscures de racismes et autres manipulations, quelques opportunistes spécialistes du réchauffé ont choisi à nouveau de distraire l’opinion avec une soi-disant affaire vieille comme la France dite de « des biens mal acquis ». Entendez par Biens Mal Acquis, tout objet de haute valeur acquis par un africain, un noir ou encore un ressortissants des colonies.

 C’est en effet avec un regard colonisateur et toujours sous le prisme déformant d'une Afrique méconnue et méprisée, que Messieurs Mathieu PELLOLI et Sébastien RAMNOUX, deux journaleux du quotidien français "Le  Parisien" ont décidé de mettre leur plume au service de l'invectives en  tarabustant le monde entier le Vendredi 02 Mars 2012 à la « Une » de leur journal, avec une succession de chiffres, d’images et de pseudo révélations truffées de mensonges dans un seul objectif:
 
Il faut salir, décrédibiliser et réussir le pari de porter atteinte à tout prix, à l’image du Président de la République  gabonaise ALI BONGO ONDIMBA et son épouse la Première Dame Sylvia BONGO ONDIMBA dont il  convient d'ailleurs de rappeler qu’avant d’être Première Dame, elle a d'abord été Chef d’une Entreprise qu'elle a elle-même créée et dont la prospérité au fil des ans lui a offert une grande notoriété dans le pays,ce, grâce au seul fruit de son travail.
 
 Cependant en parcourant les lignes de cet article, on se demande bien pourquoi cette affaire et pourquoi maintenant ?Et là soudainement nous nous souvenons que nous sommes en période électorale en France et qu' un tel sujet peut faire vendre ou gagner des voix à des socialo-communistes complètement incultes, lesquels n'ont de frontière que la France et leur patelin.
 
Ne nous détrompons point,  il ne s’agit à aucun moment ni d’informer, ni de rétablir les gabonais dans leurs droits mais bien évidemment de s’en prendre  de manière caustique au Chef de l’Etat le plus populaire d’Afrique et  partant, de son pays le GABON. A défaut d’avoir pu atteindre ou attaquer frontalement le père, on tente à présent de déstabiliser le fils.

Mais en quoi ce petit pays au cœur de l’Afrique équatoriale est-il si dangereux voir gênant à un tel point qu'on s’en prenne  à ses autorités à chaque fois qu’il fait un pas en avant ? Le Gabon qui sort d’une Coupe d’Afrique majestueusement organisée, qui loue aujourd’hui l’arrivée à la tête de son gouvernement (et ce pour le bien de la démocratie et de l’expression de tous) de quelqu’un qui tranche littéralement avec les raisons pour lesquelles ses prédécesseurs ont été choisis, voilà qu’il faut très vite réagir. Et pour ce faire, on ressort des méthodes staliniennes à travers un usage exubérant de  la désinformation à l’image de cette campagne dans laquelle deux paltoquets de journalistes  se fendent au mot près, des mêmes chantages et mêmes discours ainsi que les mêmes accusations portées contre feu le Président OMAR BONGO ONDIMBA.
 
Ainsi naîtra en France par on ne sait quel procédé juridico-journalistique, le délit héréditaire de Patronyme. Autrement dit, il a suffit pour Ali de porter le nom BONGO ONDIMBA pour que les charges médiatico-judiciaires échouées du vivant de son père, lui soient désormais imputées.
 
Le premier témoin de cette supercherie n'est autre que cet article paru dans le journal peu scrupuleux  "Le Parisien", lequel article aligne au fil des lignes des noms de personnes, mais jamais à proprement parlé celui du Président ALI BONGO ONDIMBA. De même, comme s’il suffisait qu’un frère ou une sœur soit accusé pour que ce soit lui qui en porte la responsabilité. Bien sûr, lui est Chef d’Etat, autrement dit le plus en vue.A titre d'exemple de ces mensonges grotesques, les journaleux évoquent l'achat d'un hôtel particulier Rue de l'Université, alors que ladite acquisition n'est autre que la future Représentation diplomatique du Gabon en France, achetée par l'ETAT GABONAIS.
 
On imagine difficilement que des journalistes chevronnés et supposés mener des investigations, puissent pondre de telles mensonges sans que cela n'émeuvent aussi bien le comité de rédaction que les autorités françaises qui ont parfaitement connaissance de la Vérité! 

D’autre part cette affaire manifestement ne prend son sens que lorsqu’il s’agit de mettre en cause des africains. A contrario quand un célèbre « french doctor » reçoit de l’argent pour une soi-disant analyse (chaotique) du système de santé du Gabon, payé un peu trop grassement (Environ cent à deux cent mille euros par page de la fameuse étude), cela n’a rien de mal acquis, à ce moment les intérêts du peuple gabonais s’arrêtent, et ceux-là même qui se prennent pour les juges de nos valeurs et les procureurs de nos actions cessent d’exercer.

Messieurs les Journalistes, n’avez-vous donc pas suffisamment à faire et à dire sur vos propres affaires mêlant corruption, trafic d’influence et même blanchiment d’argent à de très hauts niveaux de responsabilités (gestion des marchés publics dans le nord, augmentation faramineuse de salaire du Chef de l’Etat, affaire du  Conseil général des Bouches-du-Rhône, juges mis en examen, emplois fictifs, Fraude électorale, Financement occulte de campagne électorale par distribution de mallettes dorées et autres)? Le Président ALI BONGO ONDIMBA en est-il responsable ? NON !


Vos objectifs sont clairs et connus de tous Messieurs les Journalistes, mettre à mal le Gabon devenu pour vous un pestiféré parce que ce pays cherche à disposer de lui-même, parce que ce pays s’ouvre au monde, parce que ce pays diversifie ses partenaires économiques et ouvre son marché à la concurrence internationale, parce que ce pays réussit en l’espace de deux ans à attirer plus de 6 milliards de dollars d’investissement étrangers (non français), parce que ce pays va de succès en succès et parce que le Président de ce pays a réussi par les actes, à imposer le Respect de la communauté internationale et restaurer la  confiance du Peuple Gabonais .

Vous avez trop longtemps profité de nous et bénéficier de ce complexe que nous avions d’antan face à un grand pays,  mais sachez qu’aujourd’hui le GABON a véritablement changé. Il n’est plus disposé à servir ni d’arrière base à vos entreprises dont la compétitivité est de moins en moins perceptible, ni de paillasson à vos consciences. Le peuple gabonais a élu ses  représentants et dispose de représentations dont vous ne faites heureusement pas partie, car comme l’aurait dit un candidat à l’élection présidentielle, « vous mentez matin et soir ».

Ce n’est pas en écrivant des torchons pareils, en vous attaquant à un Homme intègre, pragmatique, déterminé, dynamique et dont le courage dans la prise de décision est salué à l’unanimité par son Peuple, que vous empêcherez le GABON d’avancer.
 
Ce que le Président ALI BONGO ONDIMBA a créé et suscité en chacun d’entre nous est beaucoup plus fort que toutes vos objurgations nimbées de jalousie ! Vous avez tout ou presque chez vous, vous avez construit votre démocratie et vos régimes dans le sang, personne ne vous l’a reproché. Vous avez construit vos universités, vos écoles et vos édifices avec notre argent, celui de nos ressources, personne ne vous l’a reproché.

Aujourd’hui, laissez-nous la Liberté d’avancer à notre rythme,  selon nos méthodes, l’Egalité devant le développement et sachez qu’attaqués par les ennemis, la Fraternité nous unira.

A bon entendeur... 

Auteur: La Jeune Garde du Gabon Emergent!

mercredi 22 février 2012

Quand le Griot Migrateur OVONO Lambert Petit Crie Famine en menaçant de mort le Président Ali BONGO ONDIMBA

Encore une loque qui n’a rien compris ou mieux toujours le même qui n’a encore rien compris. En effet, voilà qu’un de ces grands théoriciens des complots internationaux sûrement commandités par la "NASA" remet les couverts pour nous dire qu’il y’aurait un soit disant grand complot anti-fangs au Gabon. 
C’est à travers les lignes d’un amphigouri chiffon de garage,  aussi déplorable qu’enfantin, qu’on peut lire le cri d’alarme d’un être « Lustucru » qui n’accèdera jamais aux fonctions dont il rêve et se cache derrière une couverture ethnique à peine assumée, pour évoquer sa propre histoire qu’il veut transformer en généralité.

Ainsi, l'hurluberlu de petite nature, le bien nommé « Petit » OVONO,dont le seul prénom traduit à la fois sa petite taille que  la petitesse de son esprit, nous dévoile dans une sorte de  litanie injurieuse, son objectif de transformer l’Administration gabonaise en un « clergé ethnique » au service d'une communauté, afin de récupérer des postes qui  font sans doute saliver son appétit vorace  et abyssal du pouvoir et de l’argent.

Du Trésor à la douane, du budget aux impôts, voilà qui perturbent les nuits de ce compatriote jadis éphémère conseiller du défunt Président Omar BONGO ONDIMBA,qui fut balayé de la Présidence par le Tsun'ali de 2009 pour son abandon de poste dévoilé après les très  fructueuses conclusions de l' audit de la fonction publique  l'année suivante, rejeté par ses "frères" d'adoption Bitamois en raison de ses origines douteuses (puisqu’il serait en réalité un équato refoulé du village  d’Ebébéyine),  tout comme son mentor, l’albatros de Medouneu.Bref.

Comment tordre la réalité à un tel point ? Comment avoir une telle méconnaissance de la gestion de la chose publique et des valeurs qui ont permis au Gabon de survivre à tous les cataclysmes détonants du continent africain ?

Imaginez-vous  donc que ce soient  ces petites gens  aux intentions ignominieuses  qui caressent le  rêve d’assumer le pouvoir dans notre pays, mais au juste  pour le guider vers quoi,si ce n’est la déchéance totale, l’ethnisation de la chose publique, la concentration du pouvoir en des mains infertiles qui ne portent que le signe de la jalousie et de la soif du matériel, tellement le désert intellectuel qui les habite n’a pour comparable que les gargouillements de leurs ventres affamés ?

Quand ce n’est pas un « génocide à la rwandaise » qu’on nous promet au lendemain de l’élection présidentielle de  Septembre 2009, c’est un coup d’état à la nigérienne en Mars 2010, et aujourd’hui des menaces  de mort contre le Premier Magistrat de la République !

Quel est donc  ce gabonais qui, au moment où la Nation entière entonne les refrains de l'Unité, du bon Vivre Ensemble, de Paix, de Partage  et du Sursaut Patriotique (tel qu' exprimé lors de la CAN 2012 dans notre pays), peut encore arborer publiquement  la soutane du ridicule  pour soutenir et défendre de telles hérésies sans aucune honte ?

Est-ce parce que son employeur est un « professionnel du ridicule », que ce « Petit » personnage met en veilleuse l'usage de ses « neurones » pour  rédiger des  torchons à l' image de sa pensée, ou est-ce plutôt parce que son cerveau semble désormais atteint par la ménopause? Est-ce l'explication de sa soudaine palinodie contre le PDG dans lequel il s’est pourtant servi avec gourmandise, d'abord en qualité de membre du Comité Central après avoir séjourné plusieurs années dans le RNB, avant de réussir son coup de maître en se faisant parachuter Conseiller (sans attribution) du défunt président Omar BONGO ONDIMBA?

Sachez  cher Monsieur le « Petit », que le Gabon, porté aujourd’hui par son Président de la République Ali BONGO ONDIMBA que vous osez menacer de mort, est un Gabon pour Tous, sans distinction d’âge, d’ethnie ou de genre, et où seuls la compétence et le talent des méritants ont résolument pris le pas sur la République des passes-droit et des privilèges ethnocentriques!!

Sachez aussi Monsieur le "Petit", qu’au Gabon ce n’est pas sur une base arithmétique  d’être soi-disant 40%  de la population que l’on gagne une élection!Votre raisonnement est sibyllin, totalement abscons et  même suranné !

Nous le comprenons aisément puisqu’en menant une vie de valétudinaire et de pauvre hère en France, vous avez décidé de jouer les panégyristes de celui que vous cataloguiez dans un passé encore récent, comme étant le Prince des Ténèbres ! Si vous avez perdu l’usage de la honte, ayez au moins pitié de vous et de vos enfants !

Les espèces humaines en voie de disparition comme la vôtre monsieur le "Petit", ne servent nullement leur communauté ethnique par de tels propos aux relents tribaux. Heureusement d'ailleurs que vous êtes loin de représenter les 40% de la communauté Fang, car vous n’êtes qu’un imposteur niais, un imposteur intellectuel et un imposteur de la société civilo-politique au  nom de laquelle vous croyez parlez.Au Gabon nous sommes Unis et Indivisible, qu'on soit  Fang, Orungu, Téké ou toute autre, mais gabonais avant tout !

Un conseil tout de même, si vous ne souhaitez guère voir déballer sur la place publique les vraies raisons de votre auto-exil en France ainsi que les secrets de votre prostration, vous gagnerez fortement en faisant profil bas, en faisant  de votre prolixité verbale, un usage moins ubuesque en là mettant  au service de la République, et non au service d’un homme, ou d'une cause communautariste!

Ce n’est pas la première fois que vos interventions se distinguent par leur caractère surréaliste, mensonger, partisan et ethnique, mais dans le même temps,  quelque soit le temps passé dans un marigot la branche n’en devient pas plus un caïman, dit-on !

Pour vos menaces et insultes envers le Président de la République, nous laissons le soin aux hommes de Droit et de Loi de vous préparer une réponse judiciaire !

Auteur:Mvé Ebang Junior, Akagha Mba Darius, Philomène Akanda
Sources: La jeune garde

mercredi 1 février 2012

QUAND LA DICTATURE JOURNALISTIQUE FRANÇAISE OSE CRITIQUER LE MODEL GABONAIS

Sous un titre pompeux dignes des spécialistes du sensationnel « Coupe d'Afrique des Nations - derrière le football, les dictatures », le duo des nouveaux dictateurs médiatiques bien pensants et moralisateurs Benjamin Harroch et Alexis Toulon du magazine « LE NOUVEL OBSERVATEUR » ont cru devoir s’inviter à la tribune des défenseurs de la démocratie, ou plutôt de vecteurs de préjugés et pourfendeurs de pays et dirigeants qu’ils ne sauraient même pas localiser sur une carte géographique. 



Excellant dans l’art de l’amalgame, des anathèmes  et clichés faciles, sans argumentation de fond, ni étayée par des preuves, ils qualifient pompeusement notre pays d'un "des Etats les plus dictatoriaux d'Afrique "où les "fondements de la démocratie (sont)  largement bafoués".
Nous constatons, malgré le titre alarmiste de l’article que, hormis ces deux attaques, aucun élément n’est fourni pour étayer ces dires, les spécialistes interrogés dans l'article se focalisant beaucoup plus sur des pays frères.

Ils ne nous balancent qu’une phrase sortie du rapport 2011 d’une organisation anecdotique et ténébreuse dénommée "réseau de défense des droits de l'homme [du Gabon]"

C’est là un exemple patent de la dictature journalistique que veut nous imposer une certaine presse de la France néocolonialiste, laquelle, en pleine période d'ovulation électorale, veut se remémorer le Régime de Vichy en voulant y tester les méthodes en utilisant comme fusible le Gabon et son Président de la République.

  Bien heureusement, toutes ces tentatives demeurent  sans effet et totalement vaincues par l' Unité absolue qui caractérise notre pays et ses habitants!
Cependant, il convient de constater qu'il s'agit clairement d'un cas de diffamation à laquelle la réponse qui sied sera apportée par les voies judiciaires et politiques appropriées.

Ce type d'attaque au moment où la jeunesse africaine, l’opinion sportive internationale, des investisseurs de plus en plus nombreux ont les yeux rivés sur le Gabon, vise à décrédibiliser le travail remarquable et les progrès accomplis dans tous les domaines par le Gabon.

Une dictature n’organise pas des élections régulières à dates échues.

Une dictature n’autorise pas des dizaines de journaux privés, des radios et des stations de télévision privées.

Une dictature ne remplit pas des stades de citoyens libres par milliers comme les images qui circulent dans le monde le prouvent.

Une dictature sans hommes politiques, journalistes, syndicalistes, leaders d’opinion dans les geôles n’en est pas une.

Une dictature est un régime à risques qui n’incite pas aux investissements massifs (5 milliards de dollars américains en 2 ans et demi).


Messieurs, vous vous trompez de pays ou simplement vous êtes des dictateurs de la plume à l’imagination vagabonde.

Ce type d'articles de votre fait est la preuve que nous sommes en présence de journalistes véreux et ignares n'ayant aucune connaissance du Gabon.

Si votre but inavoué et inavouable était de véhiculer une image négative sur un pays dont vous ne connaissez absolument rien sinon par ouï-dire ou jugements interposés, c’est peine perdue.

Votre légèreté qui est aussi une entorse grave à l’image d’un magazine réputé objectif, de qualité et soucieux du respect des principes éthiques et déontologiques, vous place au bas de l'échelle mondiale du journalisme exemplaire et impartial!

La vermine sous ses diverses formes  et convulsions, avec ses relais connus ou tapis dans l’ombre  ne peut nuire à un pays comme le Gabon engagé résolument sur les voies de l’émergence.
   Même le Président américain soutient nos Panthères du Gabon
Monsieur le Président de la République, la Nation toute entière est à vos côtés pour faire faire barrage à ces obstructions volontaires au développement de notre pays. Le monde entier reconnait à juste titre que vous êtes un homme en mouvement, tout comme l'est le Gabon aujourd'hui plus que jamais! Les trois victoires de nos panthères, ne sont pas fortuites, mais annoncent les prémices d'un succès incontestable de votre Magistère à la tête de ce pays! SOUTIEN!!
La Jeune Garde de l’Emergence

vendredi 20 janvier 2012

Des "Mains Noires" Agitent les Etudiants de l'UOB pour saboter la réussite de la CAN 2012 au Gabon

Les étudiants de l’Université Omar Bongo (UOB) de Libreville sont entrés en grève depuis le début de la semaine dernière. Dans leur cahier de doléances, on dénombre plusieurs revendications : le paiement de la bourse, l’harmonisation du système Licence Master Doctorat (LMD) dans tous les départements, et la réouverture du concours d’entrée à l’Ecole nationale supérieure (ENS). Une action de réclamation qui n’a pas laissé insensibles les autorités de tutelle.
En effet, le ministre de l’Enseignement supérieur, Séraphin Moundounga, avait effectué vendredi dernier une décente au campus universitaire. Les pourparlers, qui ont duré près de cinq heures d’horloge, ont permis de conclure une sorte d’accord : le ministre Séraphin Moundounga a demandé aux étudiants de faire parvenir au ministère les états nominatifs des réclamations relatives aux bourses et leurs justificatifs, en vue de leur examen par le Gouvernement. Un accord qui a rassuré les étudiants, au point d’accompagner le ministre jusqu’à son véhicule.

Curieusement, le lundi 16 janvier dernier, ces mêmes étudiants ont à nouveau envahi la voie publique, et de la plus belle manière. Semblable à des âmes agitées par les démons de l’enfer, ils se sont livrés à des actes de vandalisme. Alors que vendredi dernier, lors de leur discussion avec le ministre, ils avaient donné leur parole pour surseoir à la grève et permettre au Gouvernement d’examiner leurs revendications. Qu’est-ce qui s’est donc passé ?

Selon un communiqué du rectorat de l’UOB, certains individus identifiés comme n’étant pas étudiants, précisément des anciens étudiants exclus depuis des années de l’Université, seraient responsables des perturbations observées à l’UOB. Après avoir infiltré le mouvement de grève des étudiants, ces anciens étudiants auraient convaincu les jeunes étudiants de changer casaque et de poursuivre leur mouvement d’humeur.

Mais pour nombre d’observateurs de la vie politique du Gabon, cette agitation des étudiants serait inspirée par quelques opposants tapis dans l’ombre, un peu pour créer un climat de tension dans ce contexte national marqué par le démarrage, dans quelques jours, de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football que le Gabon et la Guinée équatoriale abritent dès samedi prochain. On croirait donc à un sabotage, destiné à gêner l’action politique du chef de l’Etat. A y voir de près, l’opposition ne serait pas étrangère à ce genre de manœuvres dont elle est désormais coutumière.
On se souvient de l’agitation qui a précédé l’organisation des législatives du 17 décembre dernier. Tout a été essayé pour boycotter ce scrutin. Sans succès, heureusement. Aujourd’hui, la réussite de l’organisation de la CAN est devenue un autre enjeu pour les politiques, aussi bien de la Majorité que de l’Opposition.
Il serait dommage que la CAN soit prise en otage par des opposants agissant sous le couvert des étudiants. Inutile de rappeler que c’est aussi l’image du Gabon qui est mise en jeu.

Source:Le Grand Nord