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jeudi 15 mars 2012

ALI BONGO ONDIMBA EN MODE SANS LANGUE DE BOIS SUR LA CHAINE FRANCE 24

Le président de la République Ali BONGO ONDIMBA s’est livré à une interview avec le journaliste Alain Foka de Radio France internationale (RFI). L’entrevue a été diffusée le Mercredi 14 mars 2012 sur les antennes de la chaine internationale France24, télévision pour laquelle elle a été réalisée.
Plusieurs sujets d'actualités ont jalonné cet échange découvrez son intégralité en exclusivité:
Alain Foca: Dernière actualité au Gabon avec la nomination d’un nouveau gouvernement avec un nouveau Premier ministre. Un gouvernement plutôt réduit mais où ne rentre pas l’opposition, c’est la fin de la réconciliation, c’est la fin du dialogue ?
Ali BONGO ONDIMBA: D’abord concernant le gouvernement, il est important de noter effectivement que tel que nous étions engagés, nous avons procédé à une réduction des membres du gouvernement. En fait, depuis 2008 on peut dire que nous sommes passés de plus 40 ministres à moins de 30 ministres. C’est quelque chose qui était attendu et c’est ce que nous avons fait. À chaque période correspond un type de gouvernement. Pour nous, il était important qu’après les législatives nous puissions mettre en place une équipe plus restreinte mais que je veux beaucoup plus performante et qui puisse permettre d’accélérer tous les programmes que nous avons en cours.

Alain Foca: Est-ce la fin du consensus, ou de la réconciliation ? Parce que là, il n’y a aucun membre de l’opposition

Ali BONGO ONDIMBA: Juste après les élections présidentielles, j’ai tendu la main comme vous le savez bien. Moi, j’ai fait ce geste-là. J’ai invité tout homme, toute femme politique à venir nous retrouver pour mettre en place le programme pour lequel je m’étais présenté pour solliciter les suffrages de mes compatriotes. Lorsque nous avons organisé les dernières législatives, à notre grande surprise nous avons vu qu’un certain nombre de mouvements, parmi lesquels l’opposition, réclamaient le boycott. Dieu merci il n’y en a pas eu.

Alain Foca: Cependant il y a eu 65 % d’abstention

Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka, vous êtes un observateur de la question politique en Afrique, vous pouvez aisément vérifier que depuis plus de 20 ans au Gabon comme partout ailleurs, nous avons des taux de participations qui sont faibles et nous le déplorons, mais c’est ainsi. La dernière élection législative que nous avons eue à organiser dans notre pays ne déroge pas à la règle. Les taux sont les mêmes et parfois par rapport aux élections antérieures ces taux sont supérieurs au niveau de la participation, donc il n’y a rien d’extraordinaire.

Alain Foca: Pour vous 34 % de participation c’est normal à une élection législative ?

Ali BONGO ONDIMBA: Je ne dirai pas que c’est normal. Moi, je souhaiterais plus de participation, mais c’est un phénomène que nous observons sur toute l’Afrique et ailleurs. Beaucoup de personnes vont moins aux urnes. Dans la cadre purement gabonais, nous avons noté que ce chiffre est en légère hausse par rapport aux dernières élections.

Alain Foca: On a vu partir pas mal de barons du régime de l’époque de votre père. Le fils en a assez de travailler avec les anciens, avec les proches de son père ? Vous voulez effacer la période Omar Bongo Ondimba ?
Ali BONGO ONDIMBA: Il est impossible pour nous d’effacer cette période. Comme je vous l’ai indiqué, le gouvernement actuel répond à un souci qui est, normalement et pour moi, principal pour l’attente des Gabonais, celle de voir ce gouvernement accélérer les réformes.  

Alain Foca: Ceux-là n’étaient pas capables d’accélérer les réformes ?
Ali BONGO ONDIMBA: Non, je ne dis pas qu’ils n’en étaient pas capables. Mais je dirai qu’aujourd’hui pour certains, après un temps passé aux affaires, ils pourront se consacrer à autre chose. Ce n’est pas surprenant que certains quittent le gouvernement. D’autres de la période que vous citez sont encore là. En plus de cela, j’avais autour de moi des collaborateurs qui sont aujourd’hui, à la présidence, ma garde rapprochée. Je ne me suis pas totalement coupé des barons de la période de mon père comme vous le dites. Au titre de ses collaborateurs, je suis le premier, je suis bien là.

Alain Foca: Aujourd’hui, votre principal opposant, André Mba Obame, se trouve en exil, loin du Gabon. Est-ce que, maintenant que vous êtes légitimé, que vous avez un gouvernement, que vous vous êtes fait élire, que la paix est revenue, que vous dites que vous êtes démocrate, il peut regagner le Gabon ?
Ali BONGO ONDIMBA: Nous sommes en paix au Gabon. C’est vous qui parlez d’exil. Vous a-t-il dit qu’il était en exil ? À ma connaissance, il n’est pas en exil.

Alain Foca: Vu les conditions dans lesquelles il est parti…

Ali BONGO ONDIMBA: Les conditions réelles pour lesquelles il a quitté le territoire relèvent de problèmes médicaux.
 
Alain Foca: Tout le monde sait bien que ce n’était pas seulement pour des raisons médicales qu’il est parti. Il y a aussi des raisons politiques.

Ali BONGO ONDIMBA: Pourquoi ? Était-il pourchassé, inquiété ?

Alain Foca: Il a dit qu’il était inquiété.

Ali BONGO ONDIMBA: C’est lui qui l’a dit. En attendant, si vous allez consulter ses militants, on vous dira qu’il poursuit sa rééducation et lorsqu’il aura retrouvé l’aptitude de tous ces moyens physiques, je ne doute pas qu’il revienne au Gabon. Et pour le connaitre un peu, je sais que c’est quelqu’un qui aime l’action.

Alain Foca: Donc vous l’attendez ?

Ali BONGO ONDIMBA: Moi principalement non, mais je sais que ses militants l’attendent lui.

Alain Foca: Il y a quelques semaines la police, en France, débarquait dans le logement d’un fils de président voisin, celui de la Guinée équatoriale, pour effectuer une formidable perquisition. On parle d’une caverne d’Ali Baba avec tout ce que l’on a retrouvé sur place, et l’avocat de Transparency international, dans l’affaire des biens mal acquis, a dit dans quelque temps peut-être vous aussi, vous serrez inquiété, parce qu’il y aura aussi une perquisition chez vous. Est-ce que vous viendriez si la justice française vous convoque ? N’avez-vous pas peur d’une perquisition chez vous ?

Ali BONGO ONDIMBA: Voici des propos surprenants, car visiblement cette personne en sait plus sur moi que moi-même. Je n’ai aucune inquiétude dans la mesure où pour venir chez moi et perquisitionner, il faut que j’ai un chez moi. Je n’ai pas de biens en France.
Alain Foca: Et tous ces appartements, tous ces hôtels particuliers, dont on parle, dont on diffuse des images à longueur de journée ? Vous ne pouvez quand même pas dire que vous n’en avez pas du tout ?
 
Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka, je vous connais de réputation. Certainement avant de débarquer dans votre avion pour Libreville, vous aviez fait vous-même des investigations et je m’attendais plutôt à ce que vous me posiez des questions plus précises, du genre «et votre bien qui se trouve à tel endroit ? Et votre immeuble qui se trouve à tel endroit et votre maison qui se trouve à tel endroit ?» Or, ce n’est pas ce que vous faites. Ça veut simplement dire que vous avez vérifié et vous vous êtes rendu compte que je n’ai pas de biens en France.

Alain Foca: Récemment on publiait dans un magazine parisien, les dépenses de votre épouse Sylvia Bongo Ondimba, qui avait dépensé un million d’euros dans un magasin de luxe à Paris.

Ali BONGO ONDIMBA: Vous voyez monsieur Foka que la méthode est toujours la même : on n’annonce que l’on va bientôt débarquer chez Ali Bongo, alors qu’on sait très bien qu’Ali Bongo n’a pas de biens en France. Mais bon, c’est le scoop. Ça fait bien pour vendre un peu de papier et susciter un peu l’attention, et après on parle des achats de madame Bongo, et on s’étonne qu’elle ait des cartes de crédit. Vous n’avez pas de carte de crédit, vous ?

Alain Foca: Je ne peux pas dépenser un million d’euros.
 
Mais qui vous dit qu’elle a dépensé un million d’euros ?
  Alain Foca:  Les chiffres sont là.

Ali BONGO ONDIMBA: Lesquels et c’est de qui ? Je voudrais faire plusieurs observations à ce niveau là. D’abord, ce n’est pas un crime que d’avoir des cartes de crédit ; ce n’est pas un crime de dépenser de l’argent qu’on a proprement gagné et qui est le sien. A ce sujet je voudrais vous dire que ni madame Bongo, ni moi-même ne découvrons l’argent aujourd’hui. Nous avons travaillé. Mon épouse a travaillé plus de vingt ans et si un certain nombre de personnes faisaient un peu l’effort de venir au Gabon, ils se rendront compte que tous les Gabonais savent que nous avons travaillé. Nous n’avons pas, un jour, débarqué de la lune et découvert l’argent comme on veut bien le dire, et ce n’est pas vrai. Tout ceci n’est en fait qu’une campagne que je ne qualifierai pas, pour détourner l’attention des gens. Ali Bongo est un personnage public, il est aujourd’hui chef de l’État. Qu’on vienne le juger de par son action, et non aller chercher des petits superflus ici et là qui n’ont aucun intérêt à Libreville.

En plus j’aimerais faire remarquer, deuxièmement, nous avons été surpris de découvrir aujourd’hui qu’il existe un nouveau délit. On parle de délit de patronyme. Apparemment je ne porte pas le bon nom, si peut-être je m’appelais Ali Foka, je n’aurai pas les mêmes problèmes que j’ai aujourd’hui.

Alain Foca: Mais vous n’auriez pas les mêmes avantages…
 
Ali BONGO ONDIMBA: Monsieur Foka encore pour une fois, nous avons travaillé pour être là. Ce n’est pas arrivé par le fruit du hasard. Nous avons travaillé.

Alain Foca: Pour vous, vous êtes victime du délire de patronyme ?

Ali BONGO ONDIMBA: Je suis victime du délire de patronyme.

Alain Foca: Vous n’avez pas peur de cette justice qui avance, puisque cette plainte, aujourd’hui, est recevable en France ?

Ali BONGO ONDIMBA: Pourquoi devrais-je être inquiet ? Je le rappelle encore une fois, j’ai travaillé toute ma vie. Donc, je n’ai pas de crainte par rapport à une quelconque enquête que l’on puisse décider aujourd’hui. Je n’ai pas de biens en France, donc qu’est-ce que c’est ?

Alain Foca: En une minute, monsieur le président, puisque le temps tourne très très vite. Nous avons vu venir ici successivement ces derniers temps, Jean Pierre Raffarin, Laurent Fabius. C’était pour la campagne ? Ils venaient chercher les fameuses valises de Bourgi ? Vous aussi vous en donnez ?
Ali BONGO ONDIMBA: Vous voyez comment vous êtes !

Alain Foca: Vous savez que c’était la tradition à l’ancienne époque et monsieur Bourgi l’a fait connaitre au grand public. Est-ce que cela continue sous monsieur Ali ?

Ali BONGO ONDIMBA: Est-ce que, lorsque vous êtes venu me rencontrer, je vous ai donné quelque chose ? Est-ce qu’il est prévu que je vous donne quelque chose quand vous partirez ?
 
Alain Foca: Je ne suis pas un homme politique.

Ali BONGO ONDIMBA: Vous me parlez de tradition. Depuis que moi je suis président de la République, personne n’a vu une seule valise quitter le palais. Monsieur Raffarin et monsieur Fabius sont venus dans un cadre bien précis : un partenariat, un échange avec HEC Paris et dans un programme de partenariat avec notre école d’administration. Ce sont deux personnalités, deux anciens ministres, je les ai reçus. On a échangé nos vues sur la coopération et le partenariat qui existe entre nos deux pays. Il n’y a rien d’autre. Malheureusement, je sais que ce genre d’information ne fait pas scoop, ne fait pas vendre. Il est préférable de dire qu’ils sont venus et qu’il y avait pré-campagne. Ça ne ce passe pas comme ça et ça ne se passera plus comme ça. N’en déplaise à certains, qui, je sais, sont nostalgiques de certaines époques.
Alain Foca: Merci monsieur le président

Ali BONGO ONDIMBA: Merci

dimanche 4 mars 2012

LA RENGAINE DE L'AFFAIRE DITE DE BIENS MAL ACQUIS : ENTRE AMALGAMES ET CONDESCENDANCE

Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !

Comment en serait-il autrement dans  un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis leur fonds  de commerce épisodique, de politiciens couverts du manteau de la société civile et pas assez courageux pour assumer leurs options et de la clique du plus grand malade imaginaire et ridicule de tous les temps (suivez mon regard !).
 
Ces attaques par presse bien pensante interposée et manipulée nous rassurent. 

En effet chaque fois qu’elles interviennent, elles  coïncident avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA.

Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale, le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé tenace de rédactions qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés. 

Et les voilà avec leurs relais et tocards identifiés et connus de tous qui franchissent le Rubicon en essayant de salir et le Président Ali contre qui ils n’ont rien trouvé  malgré moult investigations mais pis contre la Première Dame qui n’a pas attendu la consécration de son époux à la tête de l’Etat pour se bâtir une fortune. Dussé-je blesser sa modestie, Madame vient d’une grande famille parmi les plus grandes fortunes du continent et c’est utile de le dire et de le rappeler pour que nul n’en ignore.
 
Mieux, en femme d’affaires entreprenante, elle a créée, à la sueur de son front, des structures et des emplois au Gabon il y a des années. Vos informateurs et acolytes tapis dans l’ombre le savent.
 
 La malhonnêteté consiste par un glissement vicieux à faire croire qu’une carte de crédit de prestige personnelle soit alimentée par des fonds publics.

Ceci est tout simplement détestable et inélégant vis avis d’une Grande Dame, proche de ses concitoyens, discrète et efficace, une Dame de cœur et de classe comme on aimerait bien en voir dans les palais du monde entier. La dernière CAN 2012 sans SIDA en est une illustration internationale.

Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?

Le Sieur  Bourdon, avocat à ses heures perdues,  est en plein dans son opération de communication. Il se substitue aux pétitionnaires nationaux, s’acoquine du président du ridicule, qui chaque jour qui passe voit son rêve de Président ou son désir revu à la baisse en premier PM du Wolen Ntem (hélas !) s’évaporer face aux réalisations visibles dans tous les domaines par chacun de nos compatriotes.
 
 Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon.

Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA,  qui lie l’acte à la parole, le Gabon  suscite l’intérêt de pays développés et  émergents, d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire, de langue en partage notamment la France que  des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.

Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
 
 Il a su avec lucidité et courage faires sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures , d’une nouvelle politique énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale  des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National  Souverain parmi une multitude d’initiatives fortes et structurantes.
 
C’’est au moment où un leader africain de la nouvelle génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels encore assommés ou convalescents et autres oiseaux sinistres par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son plan stratégique et des signaux forts de bonne gouvernance, que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs, qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique, aux accès coupés vers les palais ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom  tropicaux, apprentis  en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tous genres.
 
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers et conspirateurs et leurs moult agitations ne continueront qu’à les confiner à la périphérie! A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs, d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des dernier coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).

L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon l’expression de Pierre Péan.
 
 Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France.  
 
Au Gabon, malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche, le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.

En France : l’opinion publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
 
 Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.

Les scandales,  lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment. Toute liste devra être inclusive,  y compris les abonnés au  pouvoir d’un hier récent.

Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.

Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
 
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales.

samedi 3 mars 2012

POURQUOI LA FRANCE EN VEUT-ELLE AUX SUCCÈS D'ALI BONGO ONDIMBA?:LA JEUNE GARDE DONNE LA RÉPONSE

Loin des tumultes d’une campagne présidentielle vide, rythmée de petites phrases, d’affaires obscures de racismes et autres manipulations, quelques opportunistes spécialistes du réchauffé ont choisi à nouveau de distraire l’opinion avec une soi-disant affaire vieille comme la France dite de « des biens mal acquis ». Entendez par Biens Mal Acquis, tout objet de haute valeur acquis par un africain, un noir ou encore un ressortissants des colonies.

 C’est en effet avec un regard colonisateur et toujours sous le prisme déformant d'une Afrique méconnue et méprisée, que Messieurs Mathieu PELLOLI et Sébastien RAMNOUX, deux journaleux du quotidien français "Le  Parisien" ont décidé de mettre leur plume au service de l'invectives en  tarabustant le monde entier le Vendredi 02 Mars 2012 à la « Une » de leur journal, avec une succession de chiffres, d’images et de pseudo révélations truffées de mensonges dans un seul objectif:
 
Il faut salir, décrédibiliser et réussir le pari de porter atteinte à tout prix, à l’image du Président de la République  gabonaise ALI BONGO ONDIMBA et son épouse la Première Dame Sylvia BONGO ONDIMBA dont il  convient d'ailleurs de rappeler qu’avant d’être Première Dame, elle a d'abord été Chef d’une Entreprise qu'elle a elle-même créée et dont la prospérité au fil des ans lui a offert une grande notoriété dans le pays,ce, grâce au seul fruit de son travail.
 
 Cependant en parcourant les lignes de cet article, on se demande bien pourquoi cette affaire et pourquoi maintenant ?Et là soudainement nous nous souvenons que nous sommes en période électorale en France et qu' un tel sujet peut faire vendre ou gagner des voix à des socialo-communistes complètement incultes, lesquels n'ont de frontière que la France et leur patelin.
 
Ne nous détrompons point,  il ne s’agit à aucun moment ni d’informer, ni de rétablir les gabonais dans leurs droits mais bien évidemment de s’en prendre  de manière caustique au Chef de l’Etat le plus populaire d’Afrique et  partant, de son pays le GABON. A défaut d’avoir pu atteindre ou attaquer frontalement le père, on tente à présent de déstabiliser le fils.

Mais en quoi ce petit pays au cœur de l’Afrique équatoriale est-il si dangereux voir gênant à un tel point qu'on s’en prenne  à ses autorités à chaque fois qu’il fait un pas en avant ? Le Gabon qui sort d’une Coupe d’Afrique majestueusement organisée, qui loue aujourd’hui l’arrivée à la tête de son gouvernement (et ce pour le bien de la démocratie et de l’expression de tous) de quelqu’un qui tranche littéralement avec les raisons pour lesquelles ses prédécesseurs ont été choisis, voilà qu’il faut très vite réagir. Et pour ce faire, on ressort des méthodes staliniennes à travers un usage exubérant de  la désinformation à l’image de cette campagne dans laquelle deux paltoquets de journalistes  se fendent au mot près, des mêmes chantages et mêmes discours ainsi que les mêmes accusations portées contre feu le Président OMAR BONGO ONDIMBA.
 
Ainsi naîtra en France par on ne sait quel procédé juridico-journalistique, le délit héréditaire de Patronyme. Autrement dit, il a suffit pour Ali de porter le nom BONGO ONDIMBA pour que les charges médiatico-judiciaires échouées du vivant de son père, lui soient désormais imputées.
 
Le premier témoin de cette supercherie n'est autre que cet article paru dans le journal peu scrupuleux  "Le Parisien", lequel article aligne au fil des lignes des noms de personnes, mais jamais à proprement parlé celui du Président ALI BONGO ONDIMBA. De même, comme s’il suffisait qu’un frère ou une sœur soit accusé pour que ce soit lui qui en porte la responsabilité. Bien sûr, lui est Chef d’Etat, autrement dit le plus en vue.A titre d'exemple de ces mensonges grotesques, les journaleux évoquent l'achat d'un hôtel particulier Rue de l'Université, alors que ladite acquisition n'est autre que la future Représentation diplomatique du Gabon en France, achetée par l'ETAT GABONAIS.
 
On imagine difficilement que des journalistes chevronnés et supposés mener des investigations, puissent pondre de telles mensonges sans que cela n'émeuvent aussi bien le comité de rédaction que les autorités françaises qui ont parfaitement connaissance de la Vérité! 

D’autre part cette affaire manifestement ne prend son sens que lorsqu’il s’agit de mettre en cause des africains. A contrario quand un célèbre « french doctor » reçoit de l’argent pour une soi-disant analyse (chaotique) du système de santé du Gabon, payé un peu trop grassement (Environ cent à deux cent mille euros par page de la fameuse étude), cela n’a rien de mal acquis, à ce moment les intérêts du peuple gabonais s’arrêtent, et ceux-là même qui se prennent pour les juges de nos valeurs et les procureurs de nos actions cessent d’exercer.

Messieurs les Journalistes, n’avez-vous donc pas suffisamment à faire et à dire sur vos propres affaires mêlant corruption, trafic d’influence et même blanchiment d’argent à de très hauts niveaux de responsabilités (gestion des marchés publics dans le nord, augmentation faramineuse de salaire du Chef de l’Etat, affaire du  Conseil général des Bouches-du-Rhône, juges mis en examen, emplois fictifs, Fraude électorale, Financement occulte de campagne électorale par distribution de mallettes dorées et autres)? Le Président ALI BONGO ONDIMBA en est-il responsable ? NON !


Vos objectifs sont clairs et connus de tous Messieurs les Journalistes, mettre à mal le Gabon devenu pour vous un pestiféré parce que ce pays cherche à disposer de lui-même, parce que ce pays s’ouvre au monde, parce que ce pays diversifie ses partenaires économiques et ouvre son marché à la concurrence internationale, parce que ce pays réussit en l’espace de deux ans à attirer plus de 6 milliards de dollars d’investissement étrangers (non français), parce que ce pays va de succès en succès et parce que le Président de ce pays a réussi par les actes, à imposer le Respect de la communauté internationale et restaurer la  confiance du Peuple Gabonais .

Vous avez trop longtemps profité de nous et bénéficier de ce complexe que nous avions d’antan face à un grand pays,  mais sachez qu’aujourd’hui le GABON a véritablement changé. Il n’est plus disposé à servir ni d’arrière base à vos entreprises dont la compétitivité est de moins en moins perceptible, ni de paillasson à vos consciences. Le peuple gabonais a élu ses  représentants et dispose de représentations dont vous ne faites heureusement pas partie, car comme l’aurait dit un candidat à l’élection présidentielle, « vous mentez matin et soir ».

Ce n’est pas en écrivant des torchons pareils, en vous attaquant à un Homme intègre, pragmatique, déterminé, dynamique et dont le courage dans la prise de décision est salué à l’unanimité par son Peuple, que vous empêcherez le GABON d’avancer.
 
Ce que le Président ALI BONGO ONDIMBA a créé et suscité en chacun d’entre nous est beaucoup plus fort que toutes vos objurgations nimbées de jalousie ! Vous avez tout ou presque chez vous, vous avez construit votre démocratie et vos régimes dans le sang, personne ne vous l’a reproché. Vous avez construit vos universités, vos écoles et vos édifices avec notre argent, celui de nos ressources, personne ne vous l’a reproché.

Aujourd’hui, laissez-nous la Liberté d’avancer à notre rythme,  selon nos méthodes, l’Egalité devant le développement et sachez qu’attaqués par les ennemis, la Fraternité nous unira.

A bon entendeur... 

Auteur: La Jeune Garde du Gabon Emergent!