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vendredi 15 novembre 2013

Chronique d’une « Sainte Vierge » Dévergondée Appelée Paulette OYANE ONDO

Décidément, par les temps qui courent, l’érudit reste perplexe et le sage pensif.

Certaines ont le culot et ne reculent devant rien pour s’emparer des biens d’autrui illégalement, et usurper l’identité professionnelle d’un corps aussi respectable que celui des Avocats, supposé éclater la vérité toute la vérité d’où qu’elle se trouve.

Voici le modèle type d’une mégère ou plutôt d’une légère à l’intelligence fallacieuse, dont le  passé sulfureux de menteuse et de fraudeuse nous rappellent à souhait, les frasques de cette femme qui a vendu en solde d’hivers,  sa honte aux chiens.

En effet, la reine des caillettes et de  l’afféterie au Gabon qui se fait pompeusement nommer « Maitre » Paulette Oyane Ondo, n’aurait trouvé de mieux que d’usurper la profession d’avocat par son intrusion frauduleuse au sein de cette corporation réservée à des personnes exemptes d’insanité d’esprit.

Rendue célèbre par ses frasques de petite vertu ainsi que sa dilection exacerbée pour la gente masculine  dont il se dit qu’elle s’accompagnerait analogiquement par le dépouillements systématiques de ses « ouailles » de chambre, voilà  que la nouvelle égérie de la République fait de nouveau parler d’elle dans une affaire pour le moins époustouflante : La Mythomane d’Investigation  aurait menti sur ses diplômes en Droit.


Posez-lui donc la question de savoir pourquoi n’a-t-elle jamais prouvé l’origine ou l’authenticité de ses « vraies faux » diplômes, et vous serez surpris d’apprendre qu’elle a étudié du droit dans la ô combien prestigieuse université française dite  Panthéon-Assas, laquelle peine d’ailleurs  à ce jour, à retrouver la moindre trace ou le moindre signe de vie étudiante de notre P2O nationale.

Les archives de cette université plusieurs fois consultées et consultables sur demande, ne révèlent aucune trace de l’étudiante Oyane Ondo à moins qu’elle y ait été admise sous un autre nom (car avec elle il faut semble-t-il s’attendre à tout)…

Il suffit de lire ses piètres plaidoiries pour ne pas dire plaisanteries pour comprendre que dame P2O s’est accommodée des rudiments du droit grâce à la générosité de ses courbes, à  telle enseigne qu’elle y a entraîné son pauvre ex et défunt époux Maitre Pellegrin. Ce dernier qui se serait donné toutes les peines du monde, a du faire parfois usage de méthodes peu orthodoxe pour obtenir de « vraies faux diplômes » à sa luxueuse de pute.

 Mais mal lui en avait pris puisqu’en guise de récompense, le pauvre mari cocufié va être doublement éconduit, spolié, abandonné au bord de la route et dans la déprime jusqu’à ce que mort s’en suive. Pendant ce temps, la bonne fille de joie jouissait physiquement et mentalement de la fortune  volée à ce pauvre homme.

Dans ce genre d’histoire, les victimes sont souvent des personnes incrédules se trouvant dans un besoin pressant pour être défendues convenablement et efficacement , l’auteur précité (e) de ce faux et usage de faux et usurpation de fonction en apparence, ayant la stature requise, le verbe facile, le « balconnet » opulent et  bien en vue, un postérieur  convaincant qui fait fléchir avec facilité ses victimes, tout en  agissant sans laisser le moindre élément de preuve pouvant établir sa culpabilité, ha cette Paulette à la légèreté blâmable !

En effet et de sources bien informées, « maîtresse » Paulette Oyane Ondo aurait usé de son charme puis de trafic d’influence pour intégrer sans transition le barreau du Gabon et ainsi franchir sans difficultés, les  mailles du filet.

D’après de nombreuses investigations sûres,  la tristement déshonorable Paulette Oyane, n'a jamais été inscrite à la prestigieuse Université Panthéon-Assas (Paris 2), tel qu’elle s’en vante aussi bien en public qu’en privé.

En effet, si de forts soupçons sur l’opacité et  l’illicéité de ses diplômes semblaient d’ores et déjà alimenter les conversations, le masque finira par tomber lorsque le fichier des inscriptions et des diplômés de cette institution universitaire a été passé au crible sur une période allant de 1970 à 2010 (soit 40 promotions !!!). La conclusion est sans appel et accablante : Il n’y a jamais eu d’étudiante du nom de Mademoiselle Oyane Ondo Paulette à l’université Paris 2, son nom n'apparaît nulle part.
Ainsi, avec de telles présomptions graves, précises et concordantes, le barreau de Libreville devrait ouvrir assez rapidement  une enquête interne sur la probité morale de cette femme qui met à mal l’honorabilité de la corporation des avocats gabonais.

Par ailleurs Il faudrait rappeler à Mme Oyane certain de ses états de services qui sont en réalités des révélations pour le moins rocambolesques:

-  D’abord  mariée avec Maitre Pellegrin qui fut progressivement son mentor, son professeur, son amant avant de devenir son mari et par-dessus tout celui qui se donnera de la peine à lui fabriquer ses « vrais faux diplômes ».  Elle se servira abusivement et avidement de lui, avant de le  ruiner, le tromper puis le piller de tous ses biens, en sommes, le voler.

-  Ensuite, elle va se frotter les mains dans les bras de son amant  Christian Bongo Ondimba  qui lui filera une part juteuse de pognon pour  attaquer l'Etat gabonais avant de  le spolier ensuite, dans l'affaire dite du « Transgabonais ». A ce sujet, on est tenté de savoir combien son bien aimé amant a pu lui rétrocéder puisqu’il s’agissait d’un contrat de gré à gré ou plutôt de « de gré à love » conclu par une « entente au lit ».

- Puis, alors qu'en même temps elle était la maitresse bien rémunérée de ce fils Christian, la tuée de service a eu l’indécence de partager la couche du père pour négocier des prébendes et son entrée au gouvernement.

-  Par ailleurs, elle aurait également échangé quelques faveurs anatomiques avec  Mba Obame André, contre (tenez vous bien) son  entrée au Gouvernement. D’ailleurs, bien que jouissant du statut de « second bureau » du tout puissant Amo, sa présence à ce gouvernement ne sera que de très courte durée puisque l’arrivée d’Ali BONGO ONDIMBA aux commandes de l’Etat est venue mettre fin à ces pratiques fétides et répugnantes. La  carrière de la justiciable Oyane se serait alors arrêtée nette,  du fait de l’insensibilité du Chef de l’Etat gabonais aux nombreux appels de charmes de la belle Oyane Paulette.

Cela expliquerait semble-t-il son venin et sa haine  exacerbée contre le nouveau Magistrat Suprême de la République gabonaise qu’elle s’emploie à pourfendre aux côtés de ses bonimenteurs de nouveaux copains.

Et finalement celle qui déteste tous les BONGO a pu servir les BONGO jusque dans le string, qu’a-t-elle réellement fait ou laissé, telle une chienne en chaleur et à se balader comme une poupée de salon avant de donner des leçons aux gens !

Peut-elle se regarder devant une glace ? Consulte-t-elle réellement sa conscience ou est-elle juste sans vergogne  au point de ne plus parvenir à assouvir sa libido de bimbo, à la recherche d’un autre BONGO puisque désormais sa raison de vivre ainsi que son souffle de vie ne sont plus que les BONGO ?

Ha Madame « Je sais tout », vous avez quand même été Ministre, et c'est étonnant qu'à une telle époque vous ne vous battiez guère avec le même acharnement pour les droits de l'homme et la démocratie au Gabon. Quoiqu’ un(e) Ministre sous l'ère Omar Bongo bénéficiait peut-être d'un peu trop d'avantages ! Aussi, dites nous donc quels étaient les vôtres, afin que le PEUPLE pour lequel vous dites vous battre soit mis dans la confidence?

Comme le dit un adage, le temps rouille le mensonge et polit la vérité…


Paulette, repent-toi…

Ton cher ami et tendre cousin Mintsa mi Ndong  G.L