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dimanche 18 décembre 2011

Jules Aristide Bourdès Ogoulinguéndé, Faut-il En Rire ou Pleurer?:La Réponse

Vous aurez compris qu’il s’agit de la sortie lamentable de Jules Aristide BOURDÈS OGOULIGUENDÉ.

Vous êtes au Gabon cher monsieur ou sur la planète UN ?  Il n’y a pas eu d’élections au Gabon ?

Connaissez-vous le sens des mots lorsque vous parlez d’alternance ?

C’est bien vous qui fûtes  ministre de 1976 à 1990  président de l'Assemblée nationale de 1990 à 1993 ?
On croirait rêver !

Une vraie bourde sans jeu de mots !

Membre d’une coalition où un certain incompétent du nom de Jean Eyeghe Ndong a été élu député aux élections partielles de 2010 avec un taux de participation de 14%, le voilà qui parle d’une «  abstention massive sans précédent dans notre pays ».

Soyons sérieux : des nullards qui ont été aux affaires sans être des lumières et talents ne peuvent se prévaloir d’une subite virginité et constituer une alternative.

On ne fait pas du neuf avec un club de vieux habitués aux prébendes et autres sinécures dont ils sont conscients de ne plus pouvoir jouir car c’est fini le chantage, les rondes de quémandeurs nocturnes aux poches remplies et à la démarche chaloupée.

Le Gabon change et ces messieurs ne s’en rendent pas compte hélas pour eux et leurs maigres rangs d’affidés.

Messieurs allez vous rhabiller !

Le taux abstention  n’est pas un bon angle d’attaque.

Il ne peut être apprécié qu’en comparaison avec les précédentes législatives de 2006 et les partielles de 2010. Quant vous étiez en lice avec des taux moindres, vous vous êtes bien gardés de soulever cette trouvaille. C’était la biométrie, aujourd’hui le taux d’abstention et demain ??,peut-être l’effet CAN et ÉMERGENCE !

Vous êtes de mauvais perdants d’une bataille politique sans sens ni portée car vous manquez cruellement de crédibilité, opposants sur le tard.
Crier victoire est  simplement malhonnête et vous savez mieux que quiconque que votre appel au boycott a été un fiasco total.

Tous les observateurs et analystes neutres et indépendants ne manqueront pas aussi de faire la comparaison horizontale  en rapprochant le taux de participation  à ceux des pays comparables sur le continent africain.

La réalité c’est le raz-de-marée prévisible né de la volonté d’une  population de plus en plus convaincue de l’action visible du Président de la République. C’est la  manifestation incontestable d’une totale confiance en un meilleur avenir que les hommes du passé et du passif que les Gabonais savent reconnaître ne peuvent ni concevoir et encore moins proposer et conduire.

Cette victoire est donc le rejet de la démagogie et de l’incompétence.

Les populations du  Woleu Ntem ont constaté suite aux  élections présidentielles jouées sur la carte ethnique, que le professionnel du ridicule a  disparu dans la nature pour une maladie et une convalescence douteuses puisque tel un guignol il a refait surface sur la petite lucarne, loin du pays.

Ces populations, victimes de l’égoïsme politique d’un Marc Ona qui a empêché l’enrôlement de certaines femmes à la CNAMGS  sous prétexte que « ça ne se fera pas »  ou que « c’est pour le PDG »  ou encore en vilipendant des sociétés et partenaires internationaux,  marginalisant  de fait quelques villages, ne s’en feront plus conter.

Elles l’ont démontré de manière nette et ferme dans un vote d’adhésion à la politique du Chef de l’Etat qu’ils voient à l’œuvre et qui tient parole.
Comment ne pas souscrire à une telle vision qui se décline là sous les yeux de tous ?

L’audit  du secteur pétrolier, la création de Gabon Oil Company, un meilleur environnement des affaires a créé une explosion des revenus et eu maintes répercussions économiques dans la ville pétrolière de Port Gentil.

La liste serait fastidieuse à dérouler.

Laissons parler les images ! Regardons le quotidien !

Le Gabon est en chantier ! Le Gabon est en mouvement ! Le Gabon change positivement !

En avant Monsieur le Président et vous autres qui vous reconnaitrez, laissez-nous avancer !
Auteur: La Jeune Garde.

samedi 17 décembre 2011

Alerte Infos: Les Hommes de Mains d'André Mba Obame Sèment la Terreur dans les Quartiers et Déchirent les Cartes des Electeurs!

Alerte infos: Nous venons d'apprendre de sources dignes de foi, que les lieutenants d'André Mba Obame auraient débuté leurs opérations d'intimidation des gabonais dans plusieurs villes du Pays. 

On  nous signale notamment que certains d'entre eux ont commencé à semer la terreur dans le Woleu-Ntem, à Mounana et une partie de Libreville. Leur mode opératoire est le suivant: Les électeurs sont intimidés et sommés de déchirer leurs cartes d'électeurs sous la menace, en échange de 10 à 30 milles francs CFA

Voici deux des sms qui circulent dans le pays: "Si tu veux passer de bonnes fêtes de fin d'années, file ta carte d'électeur et tu auras une belle cagnotte".

Deuxième sms: "Si tu veux vivre, reste chez toi

 Il s'agit d'actes antirépublicains et inacceptables, qui viennent d'être dénoncés par de nombreux jeunes ayant refusé de se prêter à ce jeu d'incivisme. C'est une Honte! Que Monsieur Mba Obame et ses amis géronto-PDGistes sachent que l'opinion nationale et internationale sont prises à témoins, et que leurs crimes contre la Démocratie gabonaise ne demeureront pas impunis! 

Monsieur André Mba Obame, vous avez peut-être oublié les poursuites judiciaires  qui ont été engagées contre vous du fait de votre crime de haute trahison et pour lesquelles vous avez réussi à fuir, mais sachez que la Justice Gabonaise ne vous oubliera pas, vous rendrez des comptes aux gabonais un jour. Car en incitant le peuple à la violence et la barbarie dont vous êtes un des pères fondateurs, vous créez les germes de votre prochaine inculpation!  




Pour démontrer aux yeux du monde votre degré de machiavélisme, vous avez osé narguer les gabonais en simulant une sciatique paralysante, suscitant à la fois émotion et compassion des autorités judiciaires et même politiques de notre pays qui vous ont laissé sortir du territoire par une mesure de clémence, pour officiellement vous faire soigner, alors qu'il s'agissait en réalité d'aller vous requinquer et rire aux éclats en Afrique du Sud par moquerie des gabonais. 

Mais sachez une chose, vous avez une fois de plus réussi à manipuler certaines consciences, mais vous ne parviendrez jamais à réaliser votre rêve qui est de déstabiliser le système politique gabonais. Si vous avez échoué en étant de l'intérieur, sachez que de l'extérieur désormais, ON VOUS CONNAIT!

Auteurs: La Jeune Garde

Alerte Infos: Les Hommes de Mains d'André Mba Obame Sèment la Terreur dans les Quartiers et Déchirent les Cartes des Electeurs!

Alerte infos: Nous venons d'apprendre de sources dignes de foi, que les lieutenants d'André Mba Obame auraient débuté leurs opérations d'intimidation des gabonais dans plusieurs villes du Pays.


On  nous signale notamment que certains d'entre eux ont commencé à semer la terreur dans le Woleu-Ntem, à Mounana et une partie de Libreville. Leur mode opératoire est le suivant: Les électeurs sont intimidés et sommés de déchirer leurs cartes d'électeurs sous la menace, en échange de 10 à 30 milles francs CFA!
 Voici deux des sms qui circulent dans le pays: "Si tu veux passer de bonnes fêtes de fin d'années, file ta carte d'électeur et tu auras une belle cagnotte".
Deuxième sms: "Si tu veux vivre, reste chez toi"
Il s'agit d'actes antirépublicains et inacceptables, qui viennent d'être dénoncés par de nombreux jeunes ayant refusé de se prêter à ce jeu d'incivisme. C'est une Honte! Que Monsieur Mba Obame et ses amis géronto-PDGistes sachent que l'opinion nationale et internationale sont prises à témoins, et que leurs crimes contre la Démocratie gabonaise ne demeureront pas impunis!
Monsieur André Mba Obame, vous avez peut-être oublié les poursuites judiciaires  qui ont été engagées contre vous du fait de votre crime de haute trahison et pour lesquelles vous avez réussi à fuir, mais sachez que la Justice Gabonaise ne vous oubliera pas, vous rendrez des comptes aux gabonais un jour. Car en incitant le peuple à la violence et la barbarie dont vous êtes un des pères fondateurs, vous créez les germes de votre prochaine inculpation!
Pour démontrer aux yeux du monde votre degré de machiavélisme, vous avez osé narguer les gabonais en simulant une sciatique paralysante, suscitant à la fois émotion et compassion des autorités judiciaires et même politiques de notre pays qui vous ont laissé sortir du territoire par une mesure de clémence, pour officiellement vous faire soigner, alors qu'il s'agissait en réalité d'aller vous requinquer et rire aux éclats en Afrique du Sud par moquerie des gabonais.
  Mais sachez une chose, vous avez une fois de plus réussi à manipuler certaines consciences, mais vous ne parviendrez jamais à réaliser votre rêve qui est de déstabiliser le système politique gabonais. Si vous avez échoué en étant de l'intérieur, sachez que de l'extérieur désormais, ON VOUS CONNAIT!

Le  voleur a 99 jours, le 100ème sera pour le Peuple Gabonais qui vous jugera!
Auteurs: LA JEUNE GARDE!

mardi 29 novembre 2011

La Députée Paulette Oyane Ondo Aurait Menti Sur ses Diplômes:Une enquête a été Ouverte


Décidément, par les temps qui courent, l’érudit reste perplexe et le sage pensif.

Certaines ont le culot et ne reculent devant rien pour s’emparer des biens d’autrui illégalement, et usurper l’identité professionnelle d’un corps respectable supposé éclater la vérité toute la vérité d’où qu’elle se trouve.
En effet, la reine des caillettes et de  l’afféterie au Gabon qui se fait pompeusement nommer « Mâitre » Paulette Oyane Ondo, n’aurait trouvé de mieux que d’usurper la profession d’avocat par son intrusion frauduleuse au sein de cette corporation réservée à des personnes exemptes d’insanité d’esprit.

Rendue célèbre par ses frasques de petite vertu ainsi que sa dilection exacerbée pour la gente masculine  dont il se dit qu’elle s’accompagnerait analogiquement par le dépouillements systématiques de ses « ouailles » de chambre, voilà  que la nouvelle égérie de Marc Ona et Amo, fait de nouveau parler d’elle dans une affaire pour le moins époustouflante : Paulette Oyane Ondo aurait menti sur ses diplômes en Droit.

Dans ce genre d’histoire, les victimes sont souvent des personnes incrédules se trouvant dans un besoin pressant pour être défendues convenablement et efficacement , l’auteur précité (e) de ce faux et usage de faux et usurpation de fonction en apparence, ayant la stature requise, le verbe facile, le « balconnet » opulent et  bien en vue, un postérieur  convaincant qui fait fléchir avec facilité ses victimes, tout en  agissant sans laisser le moindre élément de preuve pouvant établir sa culpabilité. 

En effet et de sources bien informées, « maîtresse » Paulette Oyane Ondo aurait usé de son charme puis de trafic d’influence pour intégrer sans transition le barreau du Gabon et ainsi franchir sans difficultés, les  mailles du filet.

Selon le journaliste d'investigation de renom, Jean Christian Ondo, la tristement honorable députée Paulette Oyane , n'a jamais été inscrite à la prestigieuse Université Panthéon-Assas(Paris 2), tel qu’elle s’en vante aussi bien en public qu’en privé.

En effet, si de forts soupçons sur l’opacité et  l’illicéité de ses diplômes semblaient d’ores et déjà alimenter les conversations, le masque finira par tomber lorsque le fichier des inscriptions et des diplômés de cette institution universitaire a été passé au crible sur une période allant de 1971 à 2011(soit 40 promotions !!!). La conclusion est sans appel et accablante : Il n’y a jamais eu d’étudiante du nom de Mademoiselle Oyane Ondo Paulette à l’université Paris 2, son nom n'apparaît nulle part.

Ainsi, avec de telles présomptions graves, précises et concordantes, le barreau de Libreville qui en a été informé a décidé d'ouvrir  une enquête interne sur la probité morale de cette femme qui met à mal l’honorabilité de la corporation des avocats gabonais.

Par ailleurs et selon JC Ondo, Il faudrait rappeler à Mme Oyane certain de ses états de services qui sont en réalités des révélations pour le moins rocambolesques:

-  D’abord elle fut mariée avec Maitre Pellegrin qui fut progressivement son mentor, son professeur, son amant avant de devenir son mari. D’après le journaliste elle se serait servie de lui, ruiné trompé puis dépouillé  et même volé.

-  Ensuite, elle aurait  également assisté Christian Bongo Ondimba à attaquer l'Etat gabonais pour le piller ensuite, dans l'affaire dite du Transgabonais.

- Puis, alors qu'en même temps elle couchait avec le père elle était la maitresse bien rémunérée de ce fils Christian.

-  Par ailleurs, elle aurait également échangé quelques faveurs anatomiques avec  Mba Obame André, contre (tenez vous bien) son  entrée au Gouvernement. D’ailleurs, bien que jouissant du statut de « second bureau » du tout puissant Amo, sa présence à ce gouvernement ne sera que de très courte durée puisque l’arrivée d’Ali BONGO ONDIMBA aux commandes de l’Etat est venue mettre fin à ces pratiques fétides et répugnantes. La  carrière de l’impétrante se serait alors arrêté nette,  du fait de l’insensibilité du Chef de l’Etat gabonais aux charmes de la belle Oyane Paulette.

Cela expliquerait semble-t-il son venin et sa haine  exacerbée contre le nouveau Magistrat Suprême de la République gabonaise qu’elle s’emploie à pourfendre aux côtés de ses bonimenteurs de nouveaux copains.

Comme le dit un adage, le temps rouille le mensonge et polit la vérité…

Paulette, repent toi…
 
Le Grand Nord gabonais

mercredi 23 novembre 2011

Le Personnage de Mike Jocktane Mis à Nue Après ses maladresses médiatiques

Né après l’éthique et la honte le tristement inconnu Mike Jocktane s’est permis de s’inviter dans les cercles haineux et paternalistes de la Françafrique.

Joker ou amuseur public, ce bonhomme dont le profil se caractérise par son manque d’épaisseur tant intellectuelle que morale, malgré ses habits de moine,  doit tout à la générosité de Feu le Président Omar Bongo Ondimba qui avait la qualité de ne jamais désespérer de l’espèce humaine, même la plus vile et tortueuse.

Conseiller par titre plus que par compétence, Directeur adjoint de cabinet sans activités autres que le mouchardage et la course aux prébendes et trafics d’influence, cet inconnu du gratin administratif de notre pays, s’est permis de se positionner en déballeur en chef auprès de journalistes tout aussi ombrageux et sans talent que lui, dans un torchon à paraître.

Au mépris des valeurs que celui qui sur le tard s’est découvert une âme et une vocation de Martin Luther King clame incarner, voilà notre ci-devant nullard devant l’eternel,  cartouchard des facultés d’ici et d’ailleurs qui joue aux révélations tardives et autres confidences au parfum diffamatoire.

C’est le propre de la vermine, cette espèce qui ne prospère que par le parasitage, hier des cercles du pouvoir, aujourd’hui d’une opposition morbide en accointance avec des écrivaillons et autres journaleux qui ne connaissent l’Afrique et surtout le Gabon que par ouï-dire.

Pas de quoi tomber à la renverse pour un individu, tout évêque qu’il fut (défroqué ??) si peu fréquentable qui serait resté tristement anonyme n’eut été la générosité du Feu Président.

C’est cela  « Aimer tous les hommes » ?

C’est cela les enseignements de la foi , les principes et valeurs bibliques?

C’est cela le respect de la mémoire de son Bienfaiteur ?

C’est plutôt le plongeon dans le sommeil politique et spirituel d’un individu qui cultive l’ambivalence et dont le parcours scolaire, religieux, administratif et politique est semé de zones d’ombres.

C’est plutôt le signe d’une rencontre avec le diable aux apparences et formes multiples.

Monsieur le faux évêque et faux dévot, soyez cohérent et ne vous prévalez plus de ce que vous avez écrit et signé de votre main …de Judas :

« En 2005, j'ai été nommé Conseiller Personnel du feu Président Omar Bongo Ondimba. C'est cette fonction, que j'ai occupé aux cotés de cet illustre homme d'État, pendant près de quatre ans, qui m'a permis de m'imprégner des réalités du monde du pouvoir et surtout d'apprendre les rudiments de la vie politique gabonaise. Le contact régulier avec lui ainsi que tous les autres grands décideurs m'a profondément enrichi et préparé pour les temps actuels.

 Le 29 janvier 2009, je suis nommé Directeur de cabinet adjoint du Président de la République. J'ai occupé ce poste jusqu'à la fin de la période de transition politique. »

NO COMMENT mais oh combien révélateur !

La Jeune Garde

mercredi 16 novembre 2011

La santé d’André Mba Obame se dégrade et Inquiète

Une vive tension a éclaté entre Amo et sa nouvelle conquête amoureuse avec laquelle il vit de beaux jours en Centrafrique (d’après certaines indiscrétions bien renseignées), après la découverte par celle-ci,  d’un rapport confidentiel que son compagnon Amo lui a caché sur l’évolution de son diabète. La pipelette n’a pas pu retenir sa langue sur sa découverte et s’est empressée d’envoyer un sms à sa confidente de mère qui à son tour à relayer l’infos.  

Selon un professeur français spécialiste du diabète dans le nord de la France et décédé il y a peu, le diabète dont souffre André Mba Obame a évolué en néphropathie diabétique paralysante.

« les examens cliniques effectués sur Mr Mba Obame à l’hopital américain de Neuilly (lors de son séjour longue durée en France entre Mars et Décembre 2010) et confirmé par un laboratoire genevois, ont démontré une augmentation importante de l’albumine dans les urines, >30 mg/24h, avec une réduction de la capacité du rein à filtrer. Le dosage de la créatinine fait cette année a décelé une diminution de la filtration glomérulaire… Les causes de cette complication du diabète de mr Mba Obame sont essentiellement dues à une mauvaise surveillance alimentaire du patient, entrainant de fait un surpoids, et une augmentation de la tension artérielle faisant de celui-ci un sujet hypertendu… Il faut dès lors envisager un traitement pour remplacer la fonction rénale déficiente et épurer le sang… », ce qui expliquerait d’ailleurs, d'après les mêmes sources, la sciatique paralysante qui a conduite à son évacuation sanitaire vers l' Afrique du Sud dans les conditions que nous connaissons.  

Selon certaines informations, ce qui aurait attiré l’attention de la dulcinée d’Amo, ce sont, pendant des heures durant, les fréquentes visites nocturnes et tardives de son époux à l’hôpital communautaire de Bangui (Centrafrique) pour y effectuer des dialyses consécutives à l’évolution de son diabète en néphropathie, ce malgré les soins reçus en Afrique du Sud quelques semaines avant. Certains spécialistes du CHU Ibn Rochd de Casablanca et d’un centre spécialisé en Suisse qui suivraient André Mba Obame craignent que cette néphropathie ne débouche sur une rétinopathie (perte de la vue).

Si l’inquiétude  de Madame « Amo » se comprend aisément, celle des dirigeants de l'ex Union Nationale est encore plus évidente et plus urgente tant on sait que la néphropathie diabétique comme la rétinopathie ont des conséquences incapacitantes à court terme pour les sujets qui en souffrent.

Cette situation nouvelle interpelle et pose des questions sur la capacité d’André Mba Obame à revenir au Gabon alors qu’il pourrait être aveugle ou passer 4 heures par jour pendant 3 jours par semaine à se faire dialyser. Il est urgent et nécessaire que les autorités centrafricaines fassent la lumière sur cette affaire et que les gabonais soient informés sur les raisons qui ont conduit Mba Obame André à quitter précipitamment l’Afrique du Sud pour la Centrafrique sans que personne n’en soit informé, ni même les autorités gabonaises.

* interrogé sur la question le Dr Altman de l’hôpital Pompidou disait ceci : « en théorie on sait ce qu’il faut faire mais les gens vont préférer prendre des médicaments ou des vaccins que de se réorienter vers des stratégies de vie ou l’implication personnelle est plus importante. Or le malade est acteur de son traitement, donc s’il ne veut rien faire, on ne peut rien faire. »

Auteur: Alain Charles Roquier d’Airan. (la Libre Tribune)
Source:La Nouvelle Tribune

vendredi 28 octobre 2011

TENTATIVE D'ASSASSINAT DU PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA: VOICI LE TRIANGLE DU CRIME

Toute République vit de hochets et de distinction. Et c'est bien avec des hochets qu'on mène les hommes, écrivait jadis, Napoléon Bonaparte.
 gabon, ali bongo, michel ogandaga, libreville, france, afrique du sud, algérie, angola, bénin, botswana, burkina faso, burundi, cameroun, cap vert, centrafrique, comores, congo, republique démocratique du congo, côte d'ivoire, djibout, egypte, erythrée, ethiopie, gambie, ghana, guinée, guinée bissau, guinée équatoriale, kenya, lesotho, liberia, libye, madagascar, malawi, mali, maroc
La tentative d'assassinat du Chef de l’Etat, qui n'a pas encore livré tous les complices, est édifiante à plus d'un titre, tant certains comportements depuis deux ans n'ont cessé d'étonner, mieux de tirer la sonnette d'alarme sur la sincérité de quelques responsables politiques.

C'est un sujet passionnant, tellement passionnant qu'il nous oblige à remonter le temps pour mieux comprendre les prises de position d'aujourd'hui, les attitudes, l'attentisme et le caractère totalement stoïque de certains leaders de la majorité face à l'acharnement dont fait l'objet le Grand Emergent  , de la part de la société civile « Goldmanisée »(entendez par là le Prix Goldman reçu par le King Solo de la société civile communautariste,  aux Etats-Unis), de l'opposition communautaire et un traitement de choc exceptionnel sur Internet via le site Gabon énervant.

Tout se comprend d'ailleurs, quand on est énervé, on ne raisonne plus, on fait du langage automatique, à la manière des surréalistes qui eux, préféraient se cantonner à l'écriture.

En 2001, répondant à une question d'un confrère du magazine français Jeune Afrique, à propos de sa succession, Omar Bongo répond : « j'ai déjà détecté deux ou trois jeunes ayant des qualités et susceptibles de me remplacer. Mais je ne dirai pas leurs noms, on risque de leur donner le bouillon de onze heures ».

Tout est dit dans cette phrase et le chaînon manquant, ce sont ceux qu'Omar Bongo craignait précisément pour ses héritiers. Ils sont bien tapis dans l'appareil d'Etat, nourrissant des ambitions gargantuesques. Autrement dit, tout pour eux, rien pour les autres, et l'attitude du moins étrange de la classe politique actuelle, de l'opposition à la majorité, donne bien une indication suffisante pour bien comprendre ce qui se passe exactement.


ALI’9 : un président de transition

Pour la classe politique actuelle, en commençant par le PDG, l’Emergent en Chef n'est là que pour terminer le mandat d'Omar Bongo Ondimba, autrement dit jusqu'en 2012. Après ce délai, une autre page de l'histoire politique doit s'ouvrir et chacun retient son appétit, même si les plats sont déjà à table.

Il y a comme une démission de fait, de la classe politique dans son ensemble. Personne n'assume quoi que ce soit, chacun veut garder ses chances intactes et un tour d'horizon de toutes ces instances nous montre bien le fossé qu'il y a entre eux et l’Emergent en Chef. Personne n'a l'air pressé. Chacun va à son rythme parce que simplement chacun de ses roitelets tient à maîtriser son agenda.


Le Parti Démocratique Gabonais
Parti au pouvoir, le PDG est toujours à la traine, drainant d’énormes  difficultés d’adaptation notamment au contexte et au rythme imposé par son Distingué Camarade de Président. Jamais dans l'action, le Parti ne préfère « convoler en juste noce » qu’avec  la Défensive. Autrement dit, c'est l'opposition qui fait l'agenda, le PDG attendant que le porte-parole de l’Emergent en Chef ne  prenne la parole pour qu'à son tour, il envoie deux tirailleurs dans les médias, tirer à tort et à travers.

L’Emergent en Chef a mis le pays en chantier, les édifices poussent comme des champignons, cela ne semble pas être suffisant pour aider le PDG à prendre la parole pour soutenir ce qui se fait et expliquer aux populations le bien fondé de telles ou telles réformes.

Et pourtant, la pratique politique hexagonale enseigne bien au PDG comment agir lorsqu'on est un parti de gouvernement. L'UMP n'entend céder pour rien au monde le terrain à la gauche. Chaque phrase, chaque mot, chaque comportement de la gauche est analysé avec intelligence pour une réponse appropriée.

Il s'agit de répondre au mot pour mot et non aller lire de longs communiqués à la télévision. Cela veut dire que le porte-parole du parti au pouvoir ou les principaux animateurs du contenu politique du parti doivent être imprégnés des techniques rhétoriques propres à la sémantique des débats contradictoires. Ce qui, évidemment, n'est visiblement pas le cas.


Le Gouvernement
C'est le talon d'Achille de la politique de l’Emergent en Chef. A la limite, l’Emergent en Chef peut gouverner sans cette équipe de rugby avec ses remplaçants. Un groupe de « retardataires utiles » selon la terminologie de son inspirateur principal, Paul Biyoghe Mba.

Il vient d'ailleurs d'inventer un autre concept : « ALI’9 est l'architecte, Biyoghe Mba est le bâtisseur ou le chef de chantier ».

Peut-on être plus clair étant entendu que, officiellement, il dispute la paternité de la gouvernance du pays au Grand Emergent.

Selon lui, le bilan de deux ans de Le Grand Emergent, c'est le sien dès lors qu'il nous signifie qu'en 2009, l'homme que les Gabonais ont choisi pour conduire leur destin commun c'est lui, Biyoghe Mba. Il faut donc corriger l'histoire. Peut-il d' ailleurs en être autrement ?

En fait, c'est Le Grand Emergent  qui s'est trompé en appelant auprès de lui des compatriotes pour l'aider à mettre en place son projet de société. La trahison est à la mesure de sa déception puisque Biyoghe Mba ne se contente même plus de mettre les formes, il revendique que c'est lui qui fait tout.

C'est ce qu'il répète d'ailleurs en petit comité, que sans lui, le Grand Emergent  n'aurait eu aucun résultat depuis deux ans. Autant dire une providence, un grand cadeau du ciel. L'homme n'a jamais fait mystère de son ambition à briguer la magistrature suprême.

A défaut bien entendu d'un mandat de sept ans à la primature. Il est d'ailleurs prêt à sacrifier tout Bikélé pour cette grande conquête du Graal suprême.

Dès 1990, Omar Bongo Ondimba avait vu juste, s'adressant à son conseiller juridique de l'époque, Feu le Professeur Joseph Ndong Obiang, parlant de Paul de Bikélé, Omar Bongo disait: « Cet homme que tu vois là est très dangereux, il rêve d'être Premier ministre mais je n'ai pas confiance en lui ».

Deux ans après, le sage de Lewaï avait vu juste, Biyoghe était devenu un opposant irréductible après avoir créé son Mouvement Commun de Développement. Il disait d'ailleurs dans ces nombreux meetings qu'Omar Bongo ne pouvait pas développer le Gabon et qu'en vingt ans de pouvoir, le pays était très en retard à cause de la mauvaise gestion et des mauvaises politiques mises en place.

Autrement dit, il tenait, lui, l'équation du développement du Gabon entre ses mains. On peut comprendre le nombre de fois qu'il a dû se servir de son tensiomètre à chaque fois qu'on nommait un nouveau premier ministre : Oye Mba, Obame Nguema, Ntoutoume Emane, Eyeghe Ndong.

L'homme aura rongé son frein, car il a attendu exactement 19 ans pour accéder enfin à la Primature. D'où, à peine arrivé, il a voulu donner l'impression qu'il était là depuis 19 ans : confiscation des véhicules des conseillers de son prédécesseur, sans bien entendu aller lui-même rendre ceux du ministère de l'Agriculture et du ministère du Commerce qui envahissent son parking privé à Bikélé, occupation systématique de la totalité de l'administration par les cadres du MCD, oubliant qu'il ne s'agissait pas d'une victoire du MCD, mais d'une victoire du PDG.

Mais rien n'y fera, Biyoghe Mba préfèrera la cohabitation. Pour lui, son règne est arrivé, il doit le consommer jusqu'au bout. Mais il n'occupe pas que l'administration, il entend bien entendu bousculer le PDG sur ses terres pour encourager le MCD.

Pour ne prendre que des exemples précis, Biyoghe Mba fait tout actuellement pour que le PDG ne remporte aucun siège dans le Woleu-Ntem, et le Gouverneur y serait presque mis à contribution. Pour preuve, de nombreux notables de la commune d'Oyem ont vu leur nom effacé sur les listes électorales. Eux qui ont toujours voté à Oyem depuis la nuit des temps.

Le Secrétaire communal est remplacé à un mois du vote et les prix des prestations de santé au centre hospitalier Régional ont subitement connu une hausse, comme si on voulait causer un soulèvement de la population du Woleu-Ntem et les pousser à aller tout droit tomber dans les bras d'AMO.

De toutes les façons, Paul Biyoghe vous dira qu'il n'est pas au courant, en tant que PM. Il n'est d'ailleurs jamais au courant, il lui revient toujours telle ou telle information venant de tel ou tel service de renseignement. Autrement dit, Biyoghe Mba veut mettre le Grand Emergent  en minorité dans le pays.

Dans sa logique à lui, seul le MCD doit avoir des voix. Et quand sa presse calibre le Grand Emergent  et tout son cabinet, sans un seul mot sur Paul de Bikélé, ce dernier savoure presque sa victoire car il trouve normal que la presse tance le Grand Emergent

Seul lui est le saint. Sa personne est inviolable. Dès qu'on ose écrire un mot sur lui, toute la ville est au courant qu'on a écrit sur Biyoghe Mba, comme si l’on avait critiqué un Pape ou toucher à une Divinité comme Mahomet ou Jésus Christ.

A aucun moment, il n'a pris un risque pour son Patron.  Malheureusement et très souvent, c’est le contraire qui se produit puisque Le Grand Emergent  est seul à prendre  des risques pour Paul de Bikélé et sa clique de « retardataires utiles », pour leur offrir des fonctions qui leur permettent de l'attaquer en retour : triste récompense d'une équipe censée se dévouer pour aider le Grand Emergent  à bien conduire le Gabon à bon port.

Les chantiers du Patron, il s'en moque. Les seuls chantiers qui ont un intérêt pour lui, ce sont les cases qu'il construit à Bikélé, le futur 7e arrondissement de Libreville, et qu'il visite chaque matin avant d'aller à son bureau. En cas de retard, l'entrepreneur reçoit directement un coup de fil du PM lui-même.

On peut bien entendu constater qu'il n'agit pas avec la même diligence s'agissant des chantiers de tous les Gabonais que Le Grand Emergent  a lancés à travers tout le pays. Mais cela ne l'empêche pourtant pas de revendiquer leur paternité.

Il n'est d'ailleurs pas seul dans cette longue liste où trônent certains de ces ministres, les candidats ratés de 2009, comme Paul d'Olongo qui a mis notre diplomatie totalement aphone. On entend Alain Juppé, Hilary Clinton, les autres ministres africains des affaires étrangères, sauf, bien entendu lui, que nenni.

Sa parole est sacrée. Il ne saurait gaspiller sa salive pour vanter l'émergence. Il a son programme à lui, celui qu'il a filé à AMO discrètement en 2009 : la nouvelle espérance. Que dire de plus. Sinon qu'il attend son jour et à entendre AMO, ce jour est proche.

On n'a pas besoin de carriéristes ; ni au sein du Gouvernement ni au sein du PDG. Un système politique a besoin d'hommes et de femmes mus par un seul intérêt, celui de l'amélioration du bien être de tous. Il a besoin de « spin doctors » qui investissent l'espace public pour prendre les coups à la place du Chef. C'est comme cela que ça fonctionne partout.

Le moindre mot sur Sarkozy entraine une réaction en chaîne et du Gouvernement et de l'UMP. Au Gabon, ces deux instances attendent toujours qu'on leur donne un mot d'ordre. S'il y a de nombreuses tortues de forêt qui ne veulent pas se mouiller, qu'elles tirent elles-mêmes les conséquences de leur attitude avant que celles-ci ne les rattrapent en retour.
L'opposition
La difficulté de l'opposition dite radicale, c'est qu'elle n'a plus rien à gagner. Tous ses animateurs ou presque sont sortis de l'âge légal pour être candidat à la présidentielle, sauf bien sûr AMO.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il néglige ses camarades, car ils sont un boulet pour lui. De plus, le train de vie de tous ces retraités ne leur permet pas de gaspiller trop d'énergie.

Myboto a hérité de son statut de beau-père, tout comme AMO. Et ça a bien payé. Mais ils veulent encore plus.

Eyeghe Ndong et son neveu Oye Mba viennent de voir le bout de leur espérance avec le décret signé du Grand Emergent  sur la retraite des anciens premiers ministres : 150 millions de francs CFA annuel, un cabinet, un véhicule et trois billets d'avion première classe pour une destination de leur choix.

Et dire qu'ils ne reconnaissent pas le  Grand Emergent  comme Chef de l'Etat. Comment font-ils alors puisque les décaissements ont bien commencé ? Même si Cam le Doungourou ajoute à cette coquette somme une retraite additionnelle de la BEAC, où il a servi comme Gouverneur 13 ans durant.

Quant à AMO, son statut d'ancien premier flic du pays l'a totalement transformé. Voulant bien faire, il distille les indices à chaque fois qu'il ouvre la bouche. Il y a un an sur RFI, il confiait qu'un groupe d'officiers l'avait contacté pour organiser un coup d'Etat à la Nigérienne.

Dans une interview organisée sur le bord de sa piscine, avec son monsieur Election, Ondo Edou, il confiait tout bonnement aux Gabonais qu'il ne servait à rien d'aller se faire inscrire sur des listes électorales, parce que disait-il, en pesant ses mots, « qu'il n y aura pas d'élections en décembre prochain ».

A-t-il parlé trop vite ?
La vérité s'est-elle échappée de sa bouche sans qu'il ne s'en rende compte ?

Mais ce qui est sûr, c'est que de la majorité à l'opposition en passant par le Gouvernement et certaines institutions de la République où certains se considèrent comme les parrains du Grand Emergent, on peut très vite déduire que notre classe politique soit irrémédiablement compromise. Non pas uniquement en action, mais aussi en omission.

Depuis 2009 elle donne l'impression qu'il y a un vide institutionnel, elle le matraque dans les ondes à longueur de journée. Sans projet politique, l'opposition radicale a inventé une nouvelle manière de s'opposer, et son choix est d'ailleurs très étonnant.

Elle répond à toutes les convocations de Biyoghe Mba. Elle ne va jamais chez le Grand Emergent. Et cela ne dérange aucunement le locataire du Bureau du Vice-président de la République, puisqu'il considère que seul lui, Biyoghe Mba, est l’élu légitime. Quant à savoir d'où il tire cette légitimité, c'est un autre débat sur lequel nous reviendrons très prochainement.

Il y a huit mois, notre confrère avait juste dans un article argumenté : « les conditions du coup d'Etat sont réunies ». Pour cet article, il avait reçu une fatwa de Biyoghe Mba. Reste à savoir maintenant pourquoi ? Il y a lieu de rééditer cet article.

La classe politique dans son ensemble a ensemencé la haine, une opposition systématique de l'autre, passant ainsi le relais à une société civile communautariste, afin qu'elle fasse la promotion, dans le monde entier, de cette nouvelle manière de penser.

La classe politique n'a pas su faire échec aux discours de la division, du repli identitaire, de la haine de l'ethnie, confondant revendication démocratique et lutte contre un clan : le clan Bongo Ondimba : tout un projet.

A leur décharge cependant, l'apprentissage d'un nouveau métier qu'ils ont toujours négligé lorsqu’ils étaient aux affaires : le métier d'opposant. Car tous sont presque tombés dedans par effraction ; comme des chômeurs à la recherche du premier emploi, ils ont choisi celui qui leur donnait l'illusion du pouvoir : l'opposition.

Mais, tout de même, cela ne pourrait expliquer tant de haine et de discours anti- républicains. Il paraît nécessaire que dans l’urgence, des changements de comportements soient opérés, parce que non seulement le Gabon ne fera guère marche arrière, mais également parce que   tous les pyromanes qui soufflent sur les braises seront tenus en échec et ne réussiront pas leur coup. 

Notre avenir commun nous interpelle tous. Il commande que chacun de nous prenne ses responsabilités, dans le respect de l'autre. Ceux qui estiment qu'ils sont là où ils sont parce qu'ils sont les faiseurs de roi se trompent. Personne n'a fait un concours pour être là où il est, sauf bien sûr le Grand Emergent   qui détient un mandat national de 7 ans.

Quant à tous les autres, ils  doivent le leur au Grand Emergent, lequel  peut d’ailleurs y  mettre fin quand il veut ( Qui a pouvoir de nomination, a pouvoir de révocation). Que les choses soient bien claires. Pour être un Chef, il faut être capable de commander. Et commander n'a rien à voir avec le fait de donner des ordres, de régler des comptes aux petits fonctionnaires. Cela n'a rien de commun non plus avec le « MCD » (Mauvais Coeur Dur) ni la rancune tenace. C'est plus que cela : un sursaut de votre nature ontologique et votre capacité à regarder tous les citoyens de la même manière, avec le même regard... Ce qu'aucune tortue au monde n'a la capacité de faire. 

On peut toujours rêver, c'est bien le rêve qui trace un idéal. Mais il y a du chemin à faire. Et bien du chemin.

Et ce n'est pas pour demain.

A bon entendeur…

Auteur : Le Grand Nord
Source : La Griffe du vendredi 28 octobre 2011

vendredi 30 septembre 2011

Voici la Liste des 120 Candidats Investis par les Militants du Parti Démocratique Gabonais

Le Bureau Politique du Parti Démocratique Gabonais vient d'entériner la liste définitive des 120 candidats qui défendront les couleurs de leur formation politique sur l'ensemble du territoire nationale. Voici la liste complète:

Estuaire

Haut-Ogooué



Moyen Ogooué



Ngounié


Nyanga


Ogooué-Ivindo




Ogooué-Lolo


Ogooué-Maritime

Woleu-Ntem

mercredi 28 septembre 2011

JEAN EYEGHE NDONG PRIS EN FLAGRANT DELIRE DE MENSONGE EN FRANCE: LA REDOUTABLE SENTENCE

Désormais en manque de visibilité et en proie à une sénilité d’esprit, certains de nos hommes politiques n’hésitent plus à s'essayer ouvertement au ridicule pour paraître sur les écrans, surtout lorsqu'ils choisissent la presse française comme terrain de prédilection...

Décidément les récentes révélations du dernier « mohican » de la Françafrique  Robert Bourgi alias « BOB », au sujet de prétendues mallettes qu’auraient distribué certains Chefs d’Etat africains, en l’occurrence Feu OMAR BONGO ONDIMBA, ont soudainement servi d’antidote à  une poignée de personnages parmi lesquels un ancien Premier Ministre gabonais, pourtant  jusque là atteint de la maladie d’Alzheimer... Suivez notre regard...

Longtemps plongé dans une latence comatique d’idée pour son propre pays, Monsieur Eyeghe Ndong  a choisi de déverser le fruit de  ses dernières réminiscences en prêtant sa voix à plusieurs médias français et africains, et s’offrant par la même occasion un statut de « témoin » dans la désormais « Affaire Bourgi ».  Ah, Monsieur EYEGHE NDONG, que vous arrive-t-il donc !   

Nimbées d’une ribambelle de contradictions qui traduisent l’état de « ménopause mentale» très avancé de l’ancien Premier Ministre Gabonais, les différentes interviews accordées par Jean Eyeghe Ndong offrent de quoi rigoler pendant plusieurs semaines mais surtout de quoi susciter des interrogations sur les mobiles réelles de ce coming out assez surprenant.

Partant d’un « J’en ai entendu parler », Jean Eyeghe Ndong  n’a pas hésité à se fendre d’un récit  truffé d’équivoques, dans lequel il se vente d’avoir obtenu des confidences du défunt  Président Omar BONGO ONDIMBA  au sujet des « fameuses mallettes de Robert BOURGI », en rajoutant que selon lui, ces pratiques n’auraient pas cessé. De quoi retourner l’illustre Chef de l’Etat défunt de sa tombe !

Voilà un ancien petit premier ministre qui a gouverné par "pilotage automatique" pendant 3 années au Gabon, et qui s’octroie le droit de corroborer des allégations dont-il sait bien que l’auteur prétendu ne pourrait les démentir pour cause de mort. Une fois de plus, Jean Eyeghe Ndong a raté une belle occasion de se taire, choisissant de  s’offrir en spectacle, successivement sur les antennes de RFI, France 24 et Africa 24.  C’est ainsi que grâce à ses prouesses en la matière, il consacre définitivement  son statut de « Professionnel du Ridicule ».

Au-delà des aspects anecdotiques que traduisent ses passages dans les médias français, Jean Eyeghe Ndong confirme bien qu’il est  le prototype même des instigateurs  de tensions entre deux Nations (le Gabon et la France), qu’une forte amitié lie depuis plusieurs décennies ! Oui, les relations entre le Gabon et la France sont au beau fixe et ce, depuis le Président Léon MBA en passant par Omar BONGO ONDIMBA, jusqu’à Ali BONGO ONDIMBA, chacun l'adaptant à son époque.
Que ceux qui ne le savent pas le tiennent désormais pour dit, la nature des relations entre le Gabon et la France se résume de la manière suivante: Léon MBA les a initiées, Omar BONGO ONDIMBA les a renforcées et Ali BONGO ONDIMBA vient de les décomplexer!

Monsieur Eyeghe Ndong, ce que vous refusez d’accepter en réalité, c’est le CHANGEMENT qui s’opère au Gabon et auquel vous vous opposez de manière fébrile et sans conviction. Arrêtez donc de cultiver les derniers vestiges  de la vielle mouvance politique gabonaise. Celle qui a spolié le Gabon de ses vertus en prônant un conservatisme paralysant.
Durant vos trois années de Primature, vous aurez prospéré en semant le Cancer de l’Immobilisme, la montée du syndicalisme politique et la dépravation des mœurs dans notre pays !

  Mais ce qui vous dérange et ronge votre existence aujourd'hui, Monsieur Eyeghe Ndong, c’est  que notre Gabon, notre pays, le Futur Gabon émergent soit en pleine mutation ; ce qui obnubile votre nouveau statut de préposé par défaut, c’est le fait que depuis l’accession d’Ali BONGO ONDIMBA à la Magistrature Suprême, au  Gabon désormais Rien ne se Perd, Tout se Crée et Tout se Transforme !

Vos tentatives de courtisans de la presse françaises sont toutes vouées à l’échec, puisque même en France ON VOUS CONNAIT !

Vous avez incontestablement été le plus mauvais Premier Ministre que le Gabon ait connu , c'est de notorieté publique!

Au moment où d’autres dignitaires de son âge  rédigent leurs mémoires et préparent minutieusement leur rencontre avec Dieu en dressant  le bilan de leur utilité ici bas, ce désormais « Papy Jean » de la République préfère s’accommoder à un rapport de préposition dominé par la pratique des  sales besognes et dont le commettant n’est plus à présenter… Vous le connaissez tous!

Aussi, lorsqu’on joue à l’accusateur et au vieux petit rapporteur il faut savoir apporter les preuves de ses élucubrations ! En définitive, Cher Monsieur Eyeghe Ndong, lorsqu’on  on n’a pas d’arguments politiques, de projet sociétal et développemental, de vision, de réalisations à son actif, on la boucle plutôt que de vouloir s’illustrer négativement sous les feux de la rampe en s’adonnant à un ridicule spectacle devant la presse internationale !

Nul besoin de revenir sur la question de la Biométrie qui demeure un sujet quelconque pour le commun des gabonais, le Juge constitutionnel ayant tranché le litige en privilégiant le strict respect de la Légalité Constitutionnelle!

Ceci n’est qu’une entrée en matière… Nous prendrons le temps de décortiquer la substance même des différentes déclarations fallacieuses de Monsieur Eyeghe Ndong
Auteurs: L'UJPDG-FRANCE et La G.R.G.E (Garde Rapproché du Gabon Emergent)
Source: G.R.G.E/ UJPDG-FRANCE