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vendredi 30 septembre 2011

Voici la Liste des 120 Candidats Investis par les Militants du Parti Démocratique Gabonais

Le Bureau Politique du Parti Démocratique Gabonais vient d'entériner la liste définitive des 120 candidats qui défendront les couleurs de leur formation politique sur l'ensemble du territoire nationale. Voici la liste complète:

Estuaire

Haut-Ogooué



Moyen Ogooué



Ngounié


Nyanga


Ogooué-Ivindo




Ogooué-Lolo


Ogooué-Maritime

Woleu-Ntem

mercredi 28 septembre 2011

JEAN EYEGHE NDONG PRIS EN FLAGRANT DELIRE DE MENSONGE EN FRANCE: LA REDOUTABLE SENTENCE

Désormais en manque de visibilité et en proie à une sénilité d’esprit, certains de nos hommes politiques n’hésitent plus à s'essayer ouvertement au ridicule pour paraître sur les écrans, surtout lorsqu'ils choisissent la presse française comme terrain de prédilection...

Décidément les récentes révélations du dernier « mohican » de la Françafrique  Robert Bourgi alias « BOB », au sujet de prétendues mallettes qu’auraient distribué certains Chefs d’Etat africains, en l’occurrence Feu OMAR BONGO ONDIMBA, ont soudainement servi d’antidote à  une poignée de personnages parmi lesquels un ancien Premier Ministre gabonais, pourtant  jusque là atteint de la maladie d’Alzheimer... Suivez notre regard...

Longtemps plongé dans une latence comatique d’idée pour son propre pays, Monsieur Eyeghe Ndong  a choisi de déverser le fruit de  ses dernières réminiscences en prêtant sa voix à plusieurs médias français et africains, et s’offrant par la même occasion un statut de « témoin » dans la désormais « Affaire Bourgi ».  Ah, Monsieur EYEGHE NDONG, que vous arrive-t-il donc !   

Nimbées d’une ribambelle de contradictions qui traduisent l’état de « ménopause mentale» très avancé de l’ancien Premier Ministre Gabonais, les différentes interviews accordées par Jean Eyeghe Ndong offrent de quoi rigoler pendant plusieurs semaines mais surtout de quoi susciter des interrogations sur les mobiles réelles de ce coming out assez surprenant.

Partant d’un « J’en ai entendu parler », Jean Eyeghe Ndong  n’a pas hésité à se fendre d’un récit  truffé d’équivoques, dans lequel il se vente d’avoir obtenu des confidences du défunt  Président Omar BONGO ONDIMBA  au sujet des « fameuses mallettes de Robert BOURGI », en rajoutant que selon lui, ces pratiques n’auraient pas cessé. De quoi retourner l’illustre Chef de l’Etat défunt de sa tombe !

Voilà un ancien petit premier ministre qui a gouverné par "pilotage automatique" pendant 3 années au Gabon, et qui s’octroie le droit de corroborer des allégations dont-il sait bien que l’auteur prétendu ne pourrait les démentir pour cause de mort. Une fois de plus, Jean Eyeghe Ndong a raté une belle occasion de se taire, choisissant de  s’offrir en spectacle, successivement sur les antennes de RFI, France 24 et Africa 24.  C’est ainsi que grâce à ses prouesses en la matière, il consacre définitivement  son statut de « Professionnel du Ridicule ».

Au-delà des aspects anecdotiques que traduisent ses passages dans les médias français, Jean Eyeghe Ndong confirme bien qu’il est  le prototype même des instigateurs  de tensions entre deux Nations (le Gabon et la France), qu’une forte amitié lie depuis plusieurs décennies ! Oui, les relations entre le Gabon et la France sont au beau fixe et ce, depuis le Président Léon MBA en passant par Omar BONGO ONDIMBA, jusqu’à Ali BONGO ONDIMBA, chacun l'adaptant à son époque.
Que ceux qui ne le savent pas le tiennent désormais pour dit, la nature des relations entre le Gabon et la France se résume de la manière suivante: Léon MBA les a initiées, Omar BONGO ONDIMBA les a renforcées et Ali BONGO ONDIMBA vient de les décomplexer!

Monsieur Eyeghe Ndong, ce que vous refusez d’accepter en réalité, c’est le CHANGEMENT qui s’opère au Gabon et auquel vous vous opposez de manière fébrile et sans conviction. Arrêtez donc de cultiver les derniers vestiges  de la vielle mouvance politique gabonaise. Celle qui a spolié le Gabon de ses vertus en prônant un conservatisme paralysant.
Durant vos trois années de Primature, vous aurez prospéré en semant le Cancer de l’Immobilisme, la montée du syndicalisme politique et la dépravation des mœurs dans notre pays !

  Mais ce qui vous dérange et ronge votre existence aujourd'hui, Monsieur Eyeghe Ndong, c’est  que notre Gabon, notre pays, le Futur Gabon émergent soit en pleine mutation ; ce qui obnubile votre nouveau statut de préposé par défaut, c’est le fait que depuis l’accession d’Ali BONGO ONDIMBA à la Magistrature Suprême, au  Gabon désormais Rien ne se Perd, Tout se Crée et Tout se Transforme !

Vos tentatives de courtisans de la presse françaises sont toutes vouées à l’échec, puisque même en France ON VOUS CONNAIT !

Vous avez incontestablement été le plus mauvais Premier Ministre que le Gabon ait connu , c'est de notorieté publique!

Au moment où d’autres dignitaires de son âge  rédigent leurs mémoires et préparent minutieusement leur rencontre avec Dieu en dressant  le bilan de leur utilité ici bas, ce désormais « Papy Jean » de la République préfère s’accommoder à un rapport de préposition dominé par la pratique des  sales besognes et dont le commettant n’est plus à présenter… Vous le connaissez tous!

Aussi, lorsqu’on joue à l’accusateur et au vieux petit rapporteur il faut savoir apporter les preuves de ses élucubrations ! En définitive, Cher Monsieur Eyeghe Ndong, lorsqu’on  on n’a pas d’arguments politiques, de projet sociétal et développemental, de vision, de réalisations à son actif, on la boucle plutôt que de vouloir s’illustrer négativement sous les feux de la rampe en s’adonnant à un ridicule spectacle devant la presse internationale !

Nul besoin de revenir sur la question de la Biométrie qui demeure un sujet quelconque pour le commun des gabonais, le Juge constitutionnel ayant tranché le litige en privilégiant le strict respect de la Légalité Constitutionnelle!

Ceci n’est qu’une entrée en matière… Nous prendrons le temps de décortiquer la substance même des différentes déclarations fallacieuses de Monsieur Eyeghe Ndong
Auteurs: L'UJPDG-FRANCE et La G.R.G.E (Garde Rapproché du Gabon Emergent)
Source: G.R.G.E/ UJPDG-FRANCE

jeudi 1 septembre 2011

FORUM NATIONAL DE LA JEUNESSE GABONAISE: DÉCRYPTAGE D'UN ÉVÈNEMENT HISTORIQUE TRÈS ATTENDU

Le prochain Forum National de la Jeunesse qui se tiendra du 9 au 10 Septembre 2011 approche à grands pas; la pression monte; les jeunes gabonais attendent de vivre ce moment impatiemment, car nombreuses sont les attentes, tant du côté des pouvoirs publics que des concernés. Décryptage d'un évènement historique très  attendu :

                                  AVANT DE PARCOURIR LES LIGNES QUI VONT SUIVRE
                                REGARDEZ CETTE VIDEO QUI ANNONCE LES COULEURS
                                                CLIQUEZ SUR LA FLÈCHE BLANCHE  




Pourquoi un Forum National de la Jeunesse au Gabon ?

Le Gabon compte environ 1 500 000 habitants dont 40% des jeunes. La majorité de cette frange de la population a moins de 18 ans et est scolarisée ; elle réside dans les centres urbains. Malgré les performances du système éducatif gabonais avec un taux net de scolarisation de 90% environ, le niveau de déperdition scolaire est important ; ceux qui parviennent à décrocher un diplôme trouvent difficilement un emploi, en raison de l’inadéquation formation-emploi qui risque d’ailleurs de s’observer dans les nouvelles opportunités d’emploi qu’offrent de plus en plus des secteurs novateurs.

Cette problématique de l’emploi des jeunes est doublée d’une crise sociale qui les affecte sans distinction. En effet, la mondialisation, les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et les changements consécutifs à l’accélération de l’urbanisation de nos villes avec la perte de repères ont entraîné l’affaiblissement de la structure familiale.

Les mutations socioculturelles marquées par les familles récomposées, l’instabilité familiale, les familles monoparentales, le taux élevé de divorces, la sexualité, les grossesses, les mariages, la maternité et la paternité précoces, la prostitution, l’excision, la cybercriminalité et le trafic d’enfants, perturbent l’équilibre psychologique des jeunes et influent sur leur capacité citoyenne à s’impliquer en tant qu’acteurs dans le processus de développement du pays.

D’autres maux assombrissent ce tableau : l’analphabétisme, les attitudes rebelles et défi des jeunes à l’encontre des normes et règlements édictés par la société les exposent à toutes sortes de dérives et de dangers. Leur envie de prendre des risques est particulièrement très active dans leur quête perpétuelle d’expériences personnelles. Ce qui les expose davantage à tous les risques et les rend vulnérables face à de nombreux fléaux : tels que la toxicomanie, l’alcoolisme, la violence sous toutes ses formes, les IST et le VIH/SIDA, en particulier.


Sur le plan professionnel, le déficit en formation technique, professionnelle et celui du manque de structures et de mécanismes d’encadrement (tutorat pour les formations de proximité), l’insuffisance d’infrastructures socio-éducatives, le manque de l’information et de communication, et la faible implication des jeunes dans le processus d’identification, d’élaboration, de mise en oeuvre et d’évaluation des actions qui les concernent, sont autant de maux qui entravent leur épanouissement.

Ces préoccupations cruciales ont interpellé le candidat à l’élection présidentielle du 30 août 2009, Ali BONGO ONDIMBA qui, en guise de réponse les a inscrites dans son projet de société : « l’Avenir en Confiance », et pris l’engagement une fois élu d’organiser un Forum National de la Jeunesse. Au cours duquel les attentes et les préoccupations des jeunes seront recueillies afin d’élaborer la Politique Nationale de la Jeunesse.

Cette approche participative est la matérialisation de l’implication des jeunes aux politiques et programmes qui les concernent, en tant qu’acteurs et bénéficiaires.




Placé sous le thème « Contrat de partenariat pour une jeunesse responsable », ce Forum se décline en trois sous-thèmes :

1/ Formation – Emploi ;
2/ Sport, Culture et loisirs ;
3/ Famille, Etiques et valeurs.

Au-delà du sort de la Jeunesse gabonaise, c’est celle de tout le continent africain qui interpelle le Président ALI BONGO ONDIMBA dont le discours prononcé à Yaoundé le 19 Mai 2010 dans le cadre de la Conférence Internationale Africa 21, est considéré comme l’un des plus historiques et plus poignants de ces dernières années.

En voici un extrait :




« … J’ai foi en la jeunesse Africaine. Ayez, vous aussi, foi en elle… Les jeunes ont tant besoin que leurs avis soient pris en compte par les pouvoirs publics… Il nous paraît important de cerner les aspirations de cette jeunesse et sa vision pour l’avenir. C’est le lieu de nous poser des questions sur : quelle vision de l’Afrique ont les jeunes africains ? Comment perçoivent-ils les nouvelles initiatives du développement ?

Nous ne devons pas les (les jeunes) laisser longtemps au bord du trottoir au risque de les voir virer dans les comportements répréhensibles. Mais la dure et la vraie réalité est que l’Afrique n’a pas suffisamment investi dans le développement du capital humain, pour tirer profit des avantages que représente sa population juvénile…

Le progrès auquel aspire la jeunesse africaine c’est-à-dire nos dirigeants de demain, doit être placé au coeur des gouvernants africains que nous sommes. … Il faut investir dans la jeunesse et dans l’enfance pour que la jeunesse de 2025 reconnaisse l’altruisme des aînés d’aujourd’hui.

Pour ma part, je reste convaincu que les jeunes Africains peuvent changer le monde et doivent changer le monde… », ALI BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise.