Décidément, par les
temps qui courent, l’érudit reste perplexe et le sage pensif.
Certaines ont le culot et ne reculent devant rien pour s’emparer des biens
d’autrui illégalement, et usurper l’identité professionnelle d’un corps aussi respectable
que celui des Avocats, supposé éclater la vérité toute la vérité d’où qu’elle
se trouve.
Voici le modèle type
d’une mégère ou plutôt d’une légère à l’intelligence fallacieuse, dont le passé sulfureux de menteuse et de fraudeuse
nous rappellent à souhait, les frasques de cette femme qui a vendu en solde d’hivers,
sa honte aux chiens.
En effet, la reine
des caillettes et de l’afféterie au Gabon qui se fait pompeusement nommer
« Maitre » Paulette Oyane Ondo, n’aurait trouvé de mieux
que d’usurper la profession d’avocat par son intrusion frauduleuse au sein de
cette corporation réservée à des personnes exemptes d’insanité d’esprit.
Rendue célèbre par
ses frasques de petite vertu ainsi que sa dilection exacerbée pour la
gente masculine dont il se dit qu’elle s’accompagnerait analogiquement
par le dépouillements systématiques de ses « ouailles » de chambre,
voilà que la nouvelle égérie de la République fait de nouveau parler
d’elle dans une affaire pour le moins époustouflante : La Mythomane
d’Investigation aurait menti sur ses diplômes en Droit.
Posez-lui donc la
question de savoir pourquoi n’a-t-elle jamais prouvé l’origine ou l’authenticité
de ses « vraies faux » diplômes, et vous serez surpris d’apprendre qu’elle
a étudié du droit dans la ô combien prestigieuse université française dite Panthéon-Assas, laquelle peine d’ailleurs à ce jour, à retrouver la moindre trace ou le
moindre signe de vie étudiante de notre P2O nationale.
Les archives de cette
université plusieurs fois consultées et consultables sur demande, ne révèlent
aucune trace de l’étudiante Oyane Ondo à moins qu’elle y ait été admise sous un
autre nom (car avec elle il faut semble-t-il s’attendre à tout)…
Il suffit de lire ses
piètres plaidoiries pour ne pas dire plaisanteries pour comprendre que dame P2O
s’est accommodée des rudiments du droit grâce à la générosité de ses courbes, à
telle enseigne qu’elle y a entraîné son
pauvre ex et défunt époux Maitre Pellegrin. Ce dernier qui se serait donné toutes
les peines du monde, a du faire parfois usage de méthodes peu orthodoxe pour
obtenir de « vraies faux diplômes » à sa luxueuse de pute.
Mais mal lui en avait pris puisqu’en guise de
récompense, le pauvre mari cocufié va être doublement éconduit, spolié,
abandonné au bord de la route et dans la déprime jusqu’à ce que mort s’en
suive. Pendant ce temps, la bonne fille de joie jouissait physiquement et
mentalement de la fortune volée à ce
pauvre homme.
Dans ce genre d’histoire,
les victimes sont souvent des personnes incrédules se trouvant dans un besoin
pressant pour être défendues convenablement et efficacement , l’auteur
précité (e) de ce faux et usage de faux et usurpation de fonction en apparence,
ayant la stature requise, le verbe facile, le « balconnet » opulent
et bien en vue, un postérieur convaincant qui fait fléchir avec
facilité ses victimes, tout en agissant sans laisser le moindre élément
de preuve pouvant établir sa culpabilité, ha cette Paulette à la légèreté
blâmable !
En effet et de
sources bien informées, « maîtresse » Paulette Oyane Ondo aurait
usé de son charme puis de trafic d’influence pour intégrer sans transition le
barreau du Gabon et ainsi franchir sans difficultés, les mailles du
filet.
D’après de nombreuses
investigations sûres, la tristement déshonorable Paulette Oyane, n'a jamais été inscrite à la prestigieuse
Université Panthéon-Assas (Paris 2), tel qu’elle s’en vante aussi bien en
public qu’en privé.
En effet, si de forts
soupçons sur l’opacité et l’illicéité de ses diplômes semblaient d’ores
et déjà alimenter les conversations, le masque finira par tomber lorsque le
fichier des inscriptions et des diplômés de cette institution
universitaire a été passé au crible sur une période allant de 1970 à 2010
(soit 40 promotions !!!). La conclusion est sans appel et
accablante : Il n’y a jamais eu d’étudiante du nom de Mademoiselle Oyane
Ondo Paulette à l’université Paris 2, son nom n'apparaît nulle part.
Ainsi, avec de telles
présomptions graves, précises et concordantes, le barreau de Libreville devrait
ouvrir assez rapidement une enquête interne sur la probité morale de
cette femme qui met à mal l’honorabilité de la corporation des avocats gabonais.
Par ailleurs Il faudrait rappeler à Mme Oyane certain de ses états de services qui sont en réalités des révélations pour le moins rocambolesques:
- D’abord mariée avec Maitre Pellegrin qui
fut progressivement son mentor, son professeur, son amant avant de devenir son
mari et par-dessus tout celui qui se donnera de la peine à lui fabriquer ses « vrais
faux diplômes ». Elle se servira
abusivement et avidement de lui, avant de le
ruiner, le tromper puis le piller de tous ses biens, en sommes, le voler.
- Ensuite, elle
va se frotter les mains dans les bras de son amant Christian Bongo
Ondimba qui lui filera une part juteuse de pognon pour attaquer l'Etat gabonais avant de le spolier ensuite, dans l'affaire dite du « Transgabonais ».
A ce sujet, on est tenté de savoir combien son bien aimé amant a pu lui
rétrocéder puisqu’il s’agissait d’un contrat de gré à gré ou plutôt de « de
gré à love » conclu par une « entente au lit ».
- Puis, alors
qu'en même temps elle était la maitresse bien rémunérée de ce fils Christian,
la tuée de service a eu l’indécence de partager la couche du père pour négocier
des prébendes et son entrée au gouvernement.
- Par ailleurs,
elle aurait également échangé quelques faveurs anatomiques avec Mba
Obame André, contre (tenez vous bien) son entrée au Gouvernement.
D’ailleurs, bien que jouissant du statut de « second bureau » du tout
puissant Amo, sa présence à ce gouvernement ne sera que de très courte durée puisque
l’arrivée d’Ali BONGO ONDIMBA aux commandes de l’Etat est venue
mettre fin à ces pratiques fétides et répugnantes. La carrière de la
justiciable Oyane se serait alors arrêtée nette, du fait de
l’insensibilité du Chef de l’Etat gabonais aux nombreux appels de charmes de la
belle Oyane Paulette.
Cela expliquerait
semble-t-il son venin et sa haine exacerbée contre le nouveau Magistrat
Suprême de la République gabonaise qu’elle s’emploie à pourfendre aux côtés de
ses bonimenteurs de nouveaux copains.
Et finalement celle
qui déteste tous les BONGO a pu servir les BONGO jusque dans le string, qu’a-t-elle
réellement fait ou laissé, telle une chienne en chaleur et à se balader comme
une poupée de salon avant de donner des leçons aux gens !
Peut-elle se regarder
devant une glace ? Consulte-t-elle réellement sa conscience ou est-elle juste
sans vergogne au point de ne plus parvenir à assouvir sa libido de bimbo,
à la recherche d’un autre BONGO puisque désormais sa raison de vivre ainsi que
son souffle de vie ne sont plus que les BONGO ?
Ha Madame « Je sais tout », vous avez quand
même été Ministre, et c'est étonnant qu'à une telle époque vous ne vous battiez
guère avec le même acharnement pour les droits de l'homme et la démocratie au
Gabon. Quoiqu’ un(e) Ministre sous l'ère Omar Bongo bénéficiait peut-être d'un
peu trop d'avantages ! Aussi, dites nous donc quels étaient les vôtres,
afin que le PEUPLE pour lequel vous dites vous battre soit mis dans la
confidence?
Comme le dit un
adage, le temps rouille le mensonge et polit la vérité…
Paulette, repent-toi…
Ton cher ami et tendre cousin Mintsa mi Ndong G.L